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 tell all your friends that i'm crazy and i drive you mad

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Ruka Visconti

9ème année
Ruka Visconti
Âge : 21 ans
Pronoms : il, lui
Nature du Sang et Ascendance : Né-moldu et peu lui importe le sang des autres.
Libre expression : Diva à la langue de p... et aux mots crus, motif léopard.

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Message(# lien) Sujet: tell all your friends that i'm crazy and i drive you mad tell all your friends that i'm crazy and i drive you mad EmptyMer 1 Mai 2024 - 22:00

tw : langage grossier, contenu à caractère sexuel, prostitution.

Rare — Selena Gomez
@Artemis Selwyn

 Juin 2010
Ruka était penché devant le miroir de la salle de bain au-dessus du lavabo. La vapeur de l’eau chaude embaumait encore la pièce. La porte était grande ouverte et donnait directement dans sur la chambre d’Arty, ou la chambre d’Arty directement dans la salle de bain, tout dépendait du point de vue. Il ne portait sur lui qu’un brassière et un string, sans aucune pudeur… non vraiment. Il venait de finir le trait au-dessus de ses yeux, ses cheveux encore humides, affinent ses boucles pas naturelles du tout. Sortit alors de la cabine de douche un autre étudiant battit dans du roc, si épais en muscle que la serviette qui avait autour de la taille ne demandait qu’à céder, couvrant avec difficulté l’une de ses cuisses. Il était arrivé derrière Ruka qui se mit à glousser, le rouge dans les mains et heureusement qu’il n’avait pas commencé à s’en mettre. Le jeune homme le bousculait, lui dégageant la nuque pour l’embrasser, les mains baladeuses… A croire qu’il n’en avait jamais assez. Cela faisait facilement une heure qu’on avait entendu qu’eux dans l’appartement. Ruka se faisait un plaisir de leur partager ses ébats. Il avait réussi à mettre le couvert trois fois et il fallait croire qu’il en voulait encore.

Il avait retourné Ruka pour l’asseoir sur le bord du lavabo. Ruka gloussait toujours plus, aimant cette attraction et ce besoin de sexe qu’il provoquait. Un petit gémissement de peur en entendant la céramique du lavabo craquer, les cuisses autour de son bellâtre avant de rire de bon coeur et pencher la tête pour qu’il reprenne ses baiser. Son regard avait glissé vers la chambre d’Arty et ses yeux clairs. Ruka se mordit la lèvre et ne quittait pas des yeux l’autre étudiant avec qui il vivait, au contraire il avait l’air de le provoquer, pas même un peu de rouge au joue. Il aimait ça, qu’il regarde. S’imaginer que ça aurait pu être lui et vis versa. Il niera mais au fond il savait qu’il finirait par le faire craquer.

« Arrête on va être en retard. »
« Et si on restait là plutôt… » grognait de désir l’autre étudiant de la Maison Uruz.
Ruka roulait des yeux avec un air mutin et le repoussait doucement. Il avait envie de sortir ce soir et de changer un peu de partenaire. Il est beau okay, mais bon… Il y en avait plein d’autre des canons. Et il avait envie de se pouponner et boire. Sortir d’ici…

« Je me suis pas fait aussi beau pour rester là. » fit-il catégorique.
« Bon okay. Je repasse par ma chambre, on se retrouve là-bas. »
« À touuuute… » chantonnait Ruka de cette voix tellement hypocrite et faussement en joie et hâtif de le retrouver. Que de l’illusion comme la pute que se tapait son père — voire l'essence même de tout le marché Visconti. Il leur faisait croire qu’ils étaient uniques mais au fond, il pensait déjà au prochain… Oh, Aaarty….

Il glissait du bord du lavabo en même temps que l’autre étudiant qui retenait la serviette autour de sa taille partait récupérer ses vêtements dans la chambre de Ruka. Ce dernier retrouvait son reflet dans le miroir, se mirant avec envie presque. Il était fier de ce qu’il était et de l’effet qu’il faisait. Il appliquait alors le rouge et jetait une oeillade à l’autre étudiant dans sa chambre.

« T’es entrain de mater… ?? » dit-il avant de faire le poisson avec sa bouche pour bien étaler son rouge à lèvre assorti à sa tenue. Il lissait alors bien ses cheveux pour faire une queue de cheval assez haut et pressait avec délicatesse les boucles qui pendait à l’arrière pour leur donner forme et volume.

« T’aime ce que tu vois ? » S’exclamait-il avec tellement d’assurance.
« Un jour peut-être qui sait… T’aurais droit à ça… » dit-il en se désignant tout entier sans oublier de minauder un peu. Il enfilait le reste de sa tenue, quelques bijoux et arrivait au chambranle de la porte pour s’y appuyer avec sa lascivité et vulgarité naturelle.

« Je t’aurais bien proposé de venir, mais c’est le genre de fête où on bois, on s’amuse, on fornique… Tu sais, tout ce que tu connais pas et que tu ne sais pas apprécier le puceau. » lui envoyait-il avec un sourire un peu mauvais. Ruka était clairement une plaie avec lui, mais au fond c’est parce qu’il l’aimait bien. Disons qu’il avait la chance d’être mignon.  


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Artemis Selwyn

9ème année
Artemis Selwyn
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Nature du Sang et Ascendance : Pur
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Message(# lien) Sujet: Re: tell all your friends that i'm crazy and i drive you mad tell all your friends that i'm crazy and i drive you mad EmptyJeu 2 Mai 2024 - 19:36

Tell all your friends that I'm crazy and I drive yoy mad
Putain… Il pourrait au moins fermer la porte de la salle de bain. Cette chambre est cool, mais putain je suis en face de la salle de bain. La pudeur est une chose que Ruka ne connaît pas. Depuis qu’on vit ensemble, je n’ai jamais vu autant de culs se balader. C’est perturbant. Autre chose qui me perturbe…Ruka en personne. Ce mec est une salope finie et il le sait. Il se ballade à poil dans la maison, se fait baiser bruyamment porte ouverte et là, c’est limite s’il se fait pas prendre devant moi. Le pire : bah… j’aime le regarder. Ouais. Pas ouf. Mais bon. On s’en fout.

J’essaie de me concentrer sur mon devoir de droit, mais le savoir à quelques mètres de moi, dans sa tenue… Sexy, ouais, c’est le mot. Bah… Putain, Arrête de regarder, il va te traiter de voyeur PD après, t’auras l’air fin, tiens.

Je me recentre sur mon devoir, tout en cherchant de la main mon paquet de clopes, que je finis par attraper. J’en allume une et écris un ou deux mots, tout en entendant mon camarade envoyer chier son amant. Il en fait ce qu’il veut, le bougre. D’un coté, ça me fait marrer. Tous les gars qu’il ramène rampe devant lui, c’est franchement marrant à voir d’un point de vue extérieur.

Bon… Il ne résiste pas. Je lève les yeux vers lui et souffle bruyamment la fumée de ma clope, essayant de calmer la petite bosse qui s’est formé dans mon pantalon quelques instants auparavant.

J’ai autre chose à foutre qu’à te regarder, Ruka.

Le ton est froid, posé, condescendant. À mon image. Je ne le regarde même plus. Qu’il me laisse travailler… Bon. C’est pas son genre. Clairement pas.

Je m’en branle, tu sais.

L’avoir. J’aurais aimé. Mais non. Je ne suis pas gay. C’est son côté androgyne qui m’attire, très féminin au final. Il me perturbe. Tu m’étonnes que tout le monde l’aimerait dans son lit, tous les hétéros ont dû vouloir le baiser au moins une fois, je pense. Je ne suis clairement pas une exception. Je tire sur ma clope avant de me laisser aller dans mon siège et de regarder mon colocataire avec un soupir.

Si ça te fait plaisir de le penser. Et j’ai déjà baisé, c’est juste que je ne l’affiche pas comme une petite pute.

Je lui envoie un clin d’œil et un baiser avant qu’un sourire en coin éclaire mon visage. Puis je me repenche sur mon devoir.

Allez, dégage. Y’en a qui ont du boulot.

Et qui doivent se calmer accessoirement. Ça va finir par se calmer. Et au pire, j’irai voir une des voisine si elle est seule. Elle aime bien quand je passe. Et ça fera retomber certaines pressions.
© Laueee
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Ruka Visconti

9ème année
Ruka Visconti
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Message(# lien) Sujet: Re: tell all your friends that i'm crazy and i drive you mad tell all your friends that i'm crazy and i drive you mad EmptySam 4 Mai 2024 - 20:21

tw : langage grossier, contenu à caractère sexuel, prostitution.

Rare — Selena Gomez
@Artemis Selwyn

 Juin 2010
« Oh ça oui, je sais bien… Que tu t’en branle… Foutre, branle, ouais… Clairement, tu te branles en pensant à moi en ayant plus rien à foutre nulle part tellement tu dois le faire. » lui renvoyait-il chaque mot usé par l’autre étudiant qui avait fait croustillé ses oreilles. C’était insupportable et incroyable à quel point tout ce qui sortait de sa bouche pouvait être… sous la ceinture ?? Oh que oui ! Si vous saviez.

Il levait les yeux au ciel avec fierté, son petit sourire ravi et haussait les épaules, presque innocent d’être aussi douée à détourner chaque mot de sa langue experte.

« Arrête, tu m’flattes trop ! » fit-il en posant ses doigts manucuré sur son coeur avec théatralité et pourtant sincèrement touché d’être comparé à une pute.
« Une pute/tw> de luxe ! Quand même, j'précise. » — au final comme si son but était de ressembler à mec régulier de son père biologique (qui l'a réellement été), celui qu’il haïssait temps et appelait son parâtre, petit clin d’oeil aux horribles marâtre des contes de fée. Mais vraiment, Ruka en avait presque le rouge au joues.

« Tu as refais ma soirée, j’vais plus me sentir pisser. Bon surement parce que j’aurais trop bu ça, mais t’as capiche !? Aaaah ouais, t’as raison moi aussi ! J’ai plein de bite à… » dit-il en mimant une branlette et une fellation par la suite. « Allez salut couille molle ! » lui envoyait-il en lui rendant son baiser et disparaissant pour se rendre à sa soirée.

Bien amoché, bonne petite soirée, un ou deux mecs d’envoyé, il ne sait même plus trop, il errait dans la maison wujo, sortant d’une des chambres en finissant de rattacher la ceinture de sa robe sur ses hanches et la manche de son boléro en dentelle. Il traversait alors les couloirs, son élastique dans ma bouche et refit sa queue de cheval à la main, s’arrêtant devant un miroir dans le couloir, essuyant en passant l’eye liner qui avait un peu couler sous un de ses yeux.

La marche titubante sur ses talons haut, plateforme à l’avant, aiguille à l’arrière, il errait et fut attiré par cette douce mélodie au piano malgré lui. L’alcool guidait sa vie pour l’instant sur le chemin de… la maison ? Bwarf, il espérait bien trouver un dernier gosse-beau à se faire avant de rentrer car jamais deux sans trois. T’être Seth… Ou Riley et leur énorme pout… Oh ! Saluuuut toi…

Son sourire illuminait son visage en reconnaissant de suite la silhouette derrière le piano. D’un petit pas guilleret il s’approchait d’artemis, entrain de jouer. Il pensa se déposer avec grâce sur le piano mais vu comme il était éméché, il s’était surtout vautré sur le piano à queue ! comme une merde. L’énorme instrument avait légèrement bougé, les pieds grinçant sur le parquet. La salle était sympa, une sacrée acoustique, des tapis au sol et plein de baguette de coussin, ainsi que d’autre instrument en tout genre.

« Bah qu’est-ce que tu foues là !? Genre tu joues du piano ??? » dit-il avec ce regard brillant de curiosité et de surprise. Il avait presque l’air d’un gamin si on en oubliait sa tenue et qu’il ne faudrait pas longtemps avant qu’une horreur ne sorte de sa bouche.

« Non mais continue, c’était bien… Est-ce que tu pourrais jouer… » et il lui donnait des références moldus… Gros blanc. Bah forcément non. Il finit par hausser les épaules et lui fit signe de simplement continuer. Tant pis.

« Han je la connais celle-ci en vrai… » dit-il avant de faire meumer la mélodie dans un premier temps, avant de retrouver le couplet. Les yeux clos, son petit sourire de mec bourré et content d’un rien, toujours à moitié allongé sur le piano, il finit par chantonner les paroles et plus franchement. Et putain que ce gamin chantait bien. Il atteignait même des notes assez impressionnante pour un amateur, en dehors qu’en gémissant de plaisir. Il s’était redressé avait commencé à se dandiner tout en chantant. Il était à fond dedans.   


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Message(# lien) Sujet: Re: tell all your friends that i'm crazy and i drive you mad tell all your friends that i'm crazy and i drive you mad EmptyDim 5 Mai 2024 - 0:05

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Putain, mais pourquoi il faut toujours que tu salisses tout avec ta bouche, Ruka ?

Oui, je choisis mes mots avec soin et ça me détend un minimum, je dois l’avouer. Surtout devant Ruka. Il ne le sait pas, mais oui, j’ai du désir pour lui depuis un moment maintenant. Encore une fois, sans doute parce qu’il ressemble à une femme, avec un coté androgyne très prononcé. Et ça fonctionne particulièrement bien sur moi. Mais bref. Rien d’important en soit, mais il m’arrive d’être tendu quand il n’est pas loin. Sans doute pour ça que j’ai plus de répondant avec lui qu’avec les autres.

Il répond en bonne drama queen qu’il est avant de partir. Je soupire avant d’écraser ma clope dans mon cendrier et de faire disparaître l’odeur d’un coup de baguette. Il va finir par pouvoir dire qu’il s’est fait tous les étudiants du campus. Ou presque. Pas moi. À cette pensée, je souffle, sans trop savoir pour quoi avant de replonger sur mon devoir.

***

Pas moyen de dormir, malgré une petite visite à la voisine. Je crois qu’elle aime un peu trop ça et je ne suis sans doute pas son seul amant. Mais ça ne m’a pas libéré, pas ce soir.

Fais chier. Je me relève et enfile un jean et une chemise, que je garde ouverte… parce que bon, à cette heure-là, je ne croiserai sans doute personne, ou alors des étudiants bien éméchés et que je m’en fiche bien de ce qu’il pense. Je pars vers la maison Wujo. Nous n’avons pas de piano chez nous. Alors bon, il a fallu que j’en trouve un ailleurs. Et celui là est disponible, quel hasard. À cette heure, personne ne m’entendra jouer, donc je peux y aller sans crainte.

J’ouvre les fenêtres de la pièce, pour faire rentrer l’air frais, et m’installe sur le banc. J’effleure quelques touches avant d’entamer un des derniers morceaux d’un groupe sorcier assez connu actuellement. Ok, plus lent et lyrique, mais on le reconnaît quand même quoi. Je l’aime bien comme ça. Je ferme les yeux et je me laisse porter par la mélodie. Pendant quelques instant, je joue dans mon monde, enfermé dans une bulle que je pense hermétique…

Enfin, jusqu’à ce qu’on s’écrase violemment sur le piano. Je soupire et relève les yeux vers Ruka.

Ah c’est toi…

Ouais, et il est complètement bourré… Et d’un peu plus près, je suis sûr qu’il pue le cul. Bref. Je secoue la tête.

Depuis mes cinq ans, Ruka. Mais bon, pas certain que ça t’intéresse tu vois.

Ouais, j’avoue, il m’agace et je n’aime pas quand il est ivre. Il me cite je ne sais combien de titres qui doivent sans doute être moldu et trop récent pour moi. Mis à part Debussy, Chopin, Vivaldi et autres classiques, je ne connais que des titres sorciers. Toute une éducation à refaire, je sais. Et il se met à chanter celle que je jouais… Et putain… Depuis quand il chante lui ? Et il chante bien putain. Du coup je me cale sur lui pour jouer et j’ai même un sourire qui se planque sur mes lèvres. Pour une fois qu’il me surprend en bien, on va tenter de ne pas gâcher ce moment.  
© Laueee
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Message(# lien) Sujet: Re: tell all your friends that i'm crazy and i drive you mad tell all your friends that i'm crazy and i drive you mad Empty

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