1 est la pensée, l'origine de tout • Une pensée qui m'a fait me dire que ce serait intéressant de vous raconter mon histoire de cette façon, vous donnant une leçon sur le sens des nombres en passant. Une pensée atteinte à ma naissance (métaphoriquement parlant, cassez pas la symbolique même si je suis un scientifique.) dans une famille normale dans un milieu normal, fils d'une biologiste moldue et d'un sorcier peintre et criant mes premières larmes dans un appartement de Brighton où l'angle de la rue en pente ferait flippé les moins sportif (et rêver les matheux comme moi qui adorent lâcher des trucs pour les voir rouler dans les jambes des gens... vous savez... pour la science bien sûr!). J'aimerais dire fils unique, le plus important d'un tout dont je suis le seul, mais non, je viens d'une fratrie de quatre dont je suis le plus petit, yay ! Mais m'en fou, déjà le plus intelligent, nah ! Enfin voilà en gros, mon origine, le début de Terry Kiki ! Putain voilà que je m'en sert aussi de ce surnom à la con...
2 est l'opinion, révélant toujours plus • J'ai toujours une une personnalité très forte. Dès que gamin j'ai commencé à arrêter de copier les grands, j'ai imposé mes opinions qui parfois dénotaient vachement avec les autres.  Mais les plus notables étaient mes opinions sur les sciences et la magie. Car quand on est élèves à Poudlard, parfois j'ai l'impression que limite c'est un choix qui est à faire, qu'il faut soit s'abandonner à l'un, soit à l'autre, mais moi je n'étais pas d'accord. J'ai toujours considéré que les deux étaient au final que deux formes de sciences qui au final étaient même bien plus liées l'une à l'autre qu'on pouvait le penser. Il y avait au final des chiffres dans la magie et de la magie dans les chiffres et quand on prenait la peine d'arrêter de dire de la merde on pouvait découvrir vachement en acceptant que les deux peuvent être bon. Et cette opinion je l'écrase à la gueule de tout le monde depuis.
3 est la sagesse, créant l'unité • Les maths ! Juste, les maths ! Quand j'ai découvert cette matière, la puissance des chiffres, des calcules, de tout ce qui était possible avec, disons que j'ai eut comme la sensation d'enfin être complet quoi. C'était ma sagesse, ce qu'il me manquait pour enfin savoir comment aborder ce monde. Sauf que bien entendu... vous êtes pas sans savoir que les maths c'est pas vraiment à Poudlard qu'on l'apprend, hein ? Nan j'ai eut une pré scolarité chez les moldus en soit et via les exercices qu'on avait là bas, les cahiers de vacances et tout, c'est comme ça que j'ai eut mon introduction à tout ça. Le tout sous l'oeil bienveillant de ma moman qui, pour le coup, était bien ravi d'avoir un gosse à fond sur les devoirs plutôt qu'à les détester. Enfin je vous rassure, il y a des trucs que je détestais ! Mais pas ça. Car au final avec les maths tout prenait un sens à mes yeux, je pouvais donner une logique à tout ce que je voyais et même expliquer des phénomènes comme la gravité, la vitesse, la lumière, le son, tout ça quoi. Ça m'a définit en tant que personne et ça continue d'être la chose qui me me défini et me fait évoluer même aujourd'hui.
4 est la puissance, faisant des miracles • Découverte de mes pouvoirs à dix ans en soit, non pas que ce soit une grande surprise. Bah ouais, comme je disais le daron était un peu sorcier et on attendait le jour où ça arriverait ! Comment du coup ? De manière assez basique, le cousin du côté de mon père me faisait chier à un repas de famille, il s'est étrangement retrouvé collé au plancher alors qu'il s'approchait pour ses putains de chatouilles qu'il était persuadé que je kiffais. Je lui ai royalement fait des doigts en lui tirant la langue, les gens se sont marré et se sont réjouis, puis j'ai été puni pendant une semaine pour les doigts que j'ai fait. Même si la véritable découverte d'une puissance permettant des miracle c'est pas tant l'acquisition de ma magie que le moment où j'ai commencé à voir comment je pouvais la lier aux maths. C'est là, alors que j'étais qu'en première année, que j'ai vraiment vu le potentiel qu'il y avait dans la science et la magie.
5 est la passion créant le cycle de l'âme • La passion d'apprendre, d'expérimenter, à tel point que j'ai fini chez les Serdaigles. Ma vie a toujours été dicté par mes passions, celle pour les chiffres, me donnant le goûts des sciences et me poussant à remettre en cause les principes fondamentaux de la magie pour les confronter et les associer à cette dernière, mais aussi de la logique, me menant à ce besoin d'optimisation de chacune de mes actions pour me mettre au défis et me stimuler jour après jour, me faisant même découvrir les plaisirs du quidditch qui était, au final, qu'un défi lancé à moi même pour voir si je serais capable de devenir un bon joueur rien qu'en me servant de ma tête plutôt que de mes muscles, y prenant au final un goût certains. Mes passions ont forgé mon chemin, permit de trouver mes potes, de faire des activités que je kiffe et trouver ma place dans le château au final dans un monde pas forcément accueillant pour un matheux comme moi qui pensait sérieusement qu'il allait arrêté la magie pour suivre des études moldus, avant de comprendre que ses passions pouvaient être appliquées partout. Chaque jour est à mes yeux comme une nouvelle expérience et par pure passion du défi aussi je sais que demain je vais sans doute tenter des choses insensé juste pour voir si j'en suis capable, voir si je peux y appliquer mes si précieuses maths et ainsi devenir bon dans le domaine.
6 est l'harmonie, ajoutant des notes à la vie • L'harmonie se trouve au niveau de ma famille, du cadre dans lequel je grandis. Une mère moldu très lié à la science, un père sorcier lui lié à l'art, le tout dans une famille aussi grande dans un monde comme dans l'autre mais fonctionnant dans une parfaite harmonie. Il n'y a pas de conflit dans ma famille, rien de plus que de petites engueulades de temps en temps entre un oncle et une tante à la limite, mais qui évolue dans une certaine unité et où l'expérience de chacun est vu comme une force, même si elle dénote avec ce que les autres auraient pu faire. J'aime grandir dans cette famille, je vois plein de choses, j'apprends plein de choses et même si je sens que je saoule parfois avec mes délires de matheux tout le monde est curieux, me pousse et me dit de continuer, que je tiens peut être un truc. Non sérieux ma famille, même si je leur dirais jamais en face car faut pas pousser, eh ! Est assez géniale et m'aide franchement dans mon épanouissement.
7 est l'ordre, suivant les règles • Bon, ça va être un peu redondant, mais les mathématiques encore une fois. Car non, l'ordre, suivre ce que me dit l'autorité, ça a jamais été mon truc. A l'école je suis un enfant terrible, je n'en fais qu'à ma tête et autant le dire, je suis la plaie des profs mais aussi des autres élèves qui ont le malheur de se retrouver en binôme avec moi. Il est impossible de me contrôler, de me forcer, ce qui m'a valu un dossier avec des remarques longues comme le bras et un nombre de convocations qui, je l'admet, on quelque peu fait criser mes parents. Mais je suis la loi des chiffres et des nombres et tente de tout faire dans les limites des règles des mathématiques. C'est ma ligne de conduite, mes règles et aussi le meilleur moyen de me contrôler. Ouais je sais, c'est assez abstrait dit comme ça, mais présentez moi une situation à réaliser comme un problème de maths avec des règles et des contraintes et je le réaliserais. Bon ok, j'avoue ce paragraphe était un peu foireux, plus une description de caractère qu'une tranche de vie, mais j'avoue que je séchais un peu à trouver quelque chose pour ce numéro !
8 est la charité, partageant tout • Après l'ordre voilà la charité... merde, je me suis vraiment pas facilité la tâche en choisissant cette manière de parler de ma vie... J'imagine que l'on peut parler des événements récents ? De ce braconnage intensif, de la charité des gens qui ont tout fait pour aider à soigner ces créatures et comment ça m'a affecté ? J'avoue que le 8 n'est vraiment pas un de mes nombres car c'est bien simple, je n'ai participé à rien de tout ça ! J'avais, disons le, franchement mieux à faire, surtout pour des corvées qui ne me rapportait rien hormis de la satisfaction que je pouvais trouver ailleurs. Donc je l'admet, durant toute cette crise, je me la suis coulé douce. Quoi ? C'est pas que je suis insensible ! Mais que les animaux et la charité c'est pas mon truc. Surtout que j'ai fais le calcul ! Des amoureux des créatures fantastiques et des élèves au grand cœur, il y en a juste plein dans cette école, donc je savais que ces bestioles étaient entre de bonnes mains. N'est-ce pas au final plus généreux de laisser ça à ceux qui savent réellement ce qu'ils font et aiment le faire plutôt que d'y aller en tirant la gueule pour au final mal faire ? Mais voilà, tout ça, ça m'est un peu passé au dessus de la tête ! Bien en sécurité dans le château et roupillant bien aussi pendant l'incursion.  Putain finalement je m'en suis pas si mal sortit avec ce chiffre ! Mieux qu'avec le précédent.
9 est la retenue, gardant le silence • Je vous jure ces derniers chiffres j'ai envie de me buter quoi ! Bon... voyons voir une partie de ma vie et non de ma personnalité qui a pu être affecté par la retenue... Peut être celle dont je peux faire preuve quand il est question de notes ? Ouais, je l'ai dis un peu plus tôt, je suis un élève absolument insupportable. J'obéis à rien, je fais à ma manière, je suis insolent et adore créé le bordel, mais quand il est question de notes je sais faire preuve de retenu. Putain ça fait caractère... en gros à Poudlard, même si je suis impossible, je suis aussi un bon élève. C'est bien marrant de défier les profs et tout ça, mais je vise quand même l'excellence. Donc on a beau avoir à redire sur moi, pour ce qui est de mon dossier il est plein de notes absolument impeccables et on ne peut nier que je sais fermer ma gueule et m'appliquer quand il faut. C'est ce qui m'a éviter le redoublement ainsi que beaucoup d'exclusions de cours voir de l'école. Ça passe, non ? Ça parle de ma vie à l'école, c'est presque une tranche de vie ! J'y peux rien si à 16 ans il y a pas grand chose de ouf à raconter sérieux.
10 est parfait, la fin de tout • Ma vie, elle est parfaite ! J'ai beau être un râleur qui ne fait que geindre et se plaindre H24, je kiffe ma vie ! Je m'amuse, je ne me sens jamais dans une impasse comme j'ai pu l'observer chez certains Serdaigles et je peux vraiment mêler mes passions sans la moindre retenu. Je peux explorer les maths et la magie, je fais du quidditch et même si je donne l'impression de m'en balancer j'adore ça, j'adore mon équipe et je sais qu'au fond ils m'adorent, même si on a un amour très vache entre nous. Puis en vrai je suis bien entouré ! J'ai beau la jouer « J'aime personne ! » il n'empêche que j'ai de bons amis avec qui je déconne franchement bien et qui font que passer chaque journée dans cette école n'est pas désagréable. Même les cours sont pas dégueux en vrai, si ce n'est qu'il manque des maths. Non en vrai ma vie est parfaite dans l'idée, même si je chercherais toujours à la rendre mieux. Donc j'imagine qu'en soit c'est ça, la fin de mon histoire, j'espère que vous avez bien kiffé car perso je recommencerais pas ! C'était bien de la merde !

Mais aller, petit bonus, car je pouvais pas parler de tous ces numéros sans parler de celui ci, voilà une petite leçon sur sans doute un des plus important : Le numéro 0, pas plus, pas moins, centre éternel il ne bouge jamais. Le numéro 0 se tient seul et il revient toujours là où il a commencé.