Flowers — Deluxe
@Jesse V. Winchester

L’odeur du vieux bois, de la pierre et des potions. Il y avait un air flottant, aséptisé. C’était… Rassurant et contenant. Il aimait le calme de l’infirmerie. Vael avait eu besoin de s’isoler un peu. Rien de grave, un surplus et il lui fallait se cacher. Il était passé dans le couloir et la porte de l’infirmerie lui avait tendu les bras comme un mère… Enfin cela devait s’en approcher, il a jamais vraiment su ce que c’était, ni même compris. Une infirmière était venue à sa rencontre lorsqu’il entrait, s’occupant d’un élève un peu fievreux, la goutte au nez. Elle s’était approchée, si bienveillante, tendant une main pour venir la poser sur lui avec douceur mais Vael avait fait un pas de côté, même si elle s’était lavée les mains ce n’était pas assez, qu’elle garde ses microbes, tous ceux qui s’était projeté sur sa blouse. Ce tissus de microbe. Il avait secoué la tête pour lui signifier de rester loin et qu’il n’avait besoin de rien.

C’était une habitude que M. Moreau vienne se réfugier ici et se ressourcer un peu. Certains jeunes patients avaient droits à un petit concerto privé de violoncelle de temps en temps. Pas cette fois. Il n’avait pas envie de trainer entre les lits avec le rhume qui trainait en ce moment. Il avait déjà un tas de bête et de fils à gérer, pas besoin de se rajouter des symptômes de fou… Et si je filais ça à ma mère… Je vais être dans la merde. Par contre A.J. … Non, je vais devoir m’en occuper.

Son casque anti-bruit, le même qu’on utilisait pour les mandragore et c’est pour dire il l’avait piqué en botanique, relevant son foulard sur son nez, il était allé dans le salle de soin des infirmières même si c’était plus un endroit où on stockait le matériel et les médicaments. Justement…

Il avançait, observait la salle, les petits détail, replaçant un ustensils pas aligné avec les autres, tapotait de ses phalanges les paillasses en marbre, brillante. C’était… décevant, le retour était sourd, dur, et froid. Sa main glissait sur les rangement, cherchant le bois plus souples des petites portes aux moulures un peu vétuste. Soudain, il fixait toutes les fioles, les pots en verre et leur vieilles étiquettes. Il avait commencé par déplacer un pot, essayant de suivre la logique mais… si c’était pour soigner les coupure, mais aussi les verrues…

« Hm… » commençait-il à ranger mentalement les potions et ingrédient dans sa tête pour trouver le plus efficace et logique, le plus optimisé.

Quelques minutes plus tard, toujours son casque sur les oreilles, la fenêtre forgée était ouverte et il s’était allumé une petite roulée de sauge. Il l’avait confisqué à Milhouse. ça trainait dans sa poche, ce serait dommage de pas en profiter. Vael était entrain de tout réorganiser. Il avait opté pour ordre alphabétique au final. Il posait les fioles et les boites, les pots en verre, en terre cuite, les tournait au millimètre prêt pour mettre bien les étiquettes en face.  

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Vael était concentré dans son rangement. Il savait déjà exactement quel pot irait où, ayant déjà étudié et calculé la taille de chacun, leur largeur et alignement sur les étagères de la grande armoire vitrée. Il vit alors une ombre bouger dans le coin de sa vision périphérique. Il vint poser ses yeux sur le médicomage ayant pris toutes ses précaution pour entrer en communication avec le professeur, après avoir finit de bien disposer la fiole d’essence de racine de Khamaré.

Il finit par se tourner, esquissant un fugace rictus en guise de bonjour et abaisse son casque anti-bruit. Jesse le reprenait sur le fait de fumer dans la réserve, enfin peu importe où dans l’infirmerie en vrai, il en avait grillé une partout ici et à chaque fois on lui faisait la remarque. Vael écarquilla les yeux un moment, tirant son sa sauge entrain de bruler au bout de ses doigts et soufflait la fumée par la fenêtre.

« En vrai, vu ce qui traine, un peu de sauge ne fera de mal à personne. Tu devrais même en bruler pour purifier l’air… » lui conseillait-il.

Vael eut un sourire, c’était presque un rire qui aurait pu sortir, jaugeant les ingrédients et médicaments magiques entre eux deux, sur le plan de travail. Il opinait du chef pour confirmer.

« Je suis pour le bazar organisé mais je… C’est étiqueté, je ne pouvais pas laisser ça comme ça. Ils me hurlaient de les organisé et… J’ai juste jeté un oeil, c’est devenue une obsession. » finit-il par résumé, attrapant le guano et venir le poser délicatement dans l’armoire, son oeil ayant glisser sur les mains gantées de Jesse.

« Pourquoi t’as mis des gants… » lui demandait-il en plissant les yeux, faisant un pas en arrière et comme il était plus proche de la fenêtre, il tirait encore sur sa cigarette.
« Tu comptes mettre tes doigts dans un de mes orifices ? » demandait-il avec simplicité, simple fait et éventuelle possibilité à l'usage de gants. Ce qui le rendait méfiant c’était plutôt….

« Tu va me faire une piqure ? Je vais bien t’sais ! J’ai pas b’soin de tranquillisant, tu l’as dis toi même c’était mal rangé … ‘Fin j’fais pas une crise là ! N’y pense même pas. T’façon, je comprends pas, c’est magique ici, pas de piqure, pourquoi s’infliger une telle torture. »

Mais non, ce n’était qu’une petite attention pour lui, Vael levait les yeux au ciel et soupirait.

« Okay, j’ai un petit soucis avec les microbes, surtout ce rhume mais ça vaaaa… Puis c’est… gentil ?? Enfin je comprends le geste mais le problème c’est que j’suis pas si con. Les gants, c’toi que ça protège pas moi. Suffit juste de te laver les mains et ne plus toucher un mioche. Ces nids à microbes là. » dit-il en secouant la tête, repensant à son fils dans ses trois premières années, débordant de morves, de vomit et de merde. Incroyable de se dire que vu comme il régurgitait petit, jeune adulte il n’aurait plus aucun réflexe nauséeux.

Il s'approchait pour lui proposer la fin de son joint à la sauge.  

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Il haussait une épaule pour n’approuver qu’à moitié : on pouvait toujours se trouver du temps ou un moyen. Pourquoi ne pas demander à ces élèves. S’ils ont l’énergie pour se ramasser la tronche, ils en auraient pour purifier la pièce de sauge fumante.

Les pots s’enfilaient doucement dans l’armoire aux portes vitrée. Chacun sa place. Les yeux de Vael ne cessait d’étudier l’agencement, le nom des bouteilles sur la table et les étagères. Il avait l’air d’une machine et il ne faisait aucun effort. La turbine tournait sous son crâne.

Il levait encore une épaule, se moquant un peu de qui devrait ou non faire le rangement, voire même si ça allait tenir. Au moins ça l’occuperait… Juste les soignants qui allaient se tirer les cheveux si à chaque fois l’organisation des pots tenaient car Vael avait peu confiance en leur rigueur et resterait sur leur rangement inscrit en eux depuis des mois voire des années. Et pourtant, son rangement était mieux pensé.

« Bah ouais. Après je sais pas… C’est pas comme si c’était important, c’est des médicaments quoi… » fit-il, le ton de la voix très légèrement agacé devant tellement d’incompétence à organiser ce qui est précieux et/ou dangereux.

Il en venait maintenant aux gants que portait le médicomage, étalant encore sa science et son observation accrue… Enfin pour ce qu’il voulait par exemple son fils, il ne le voyait pas souvent, ni ne l’observait réellement. Jesse restait d’une patience sans nom avec Vael, venant enlever ses gants en accusant le coup. Vael le vit se laver les mains du coin de l’oeil et baissait un peu sa garde, reprenant son rangement, deux fioles et une pause pour tirer sur son joint avant de le proposer à Jesse. Vael malgré son air un peu à côté, voir dédaigneux, ou blasé il avait vraiment apprécié. Il était simplement concentré sur autre chose : son rangement.

Le soignant s’approchait pour venir tirer un peu dessus lui aussi et souffler à la fenêtre. Vael lui fit un sourire placide, mais il était bien là et sincère. Il était juste super proche de lui, ça le mettait … pas bien. Il reprit son joint et fit un petit pas en arrière malgré le recul du médicomage après lui avoir rendu le joint.

« Hm… Mouais, j’crois que je hais les gamins. Encore plus maintenant qu’ils ont la goutte au nez. » lâchait-il en le fixant sans vraiment le regarder dans les yeux. Il regardait la personne de Jesse car il était sur son chemin vers l’armoire à médicament. Il expirait un poil plus fortement et finit par prendre deux fioles, avancer et posant son pied contre la jambe de Jesse, lui fit comprendre de se décaler un peu. Les pots trouvèrent leur place.

« Ou je les aimes bien finalement. Si je suis encore là, dois y'avoir quelque chose... Mais tu sais, je me pose tellement de fois la question de… mais pourquoi je suis là en fait ? … J’ai pas de patience avec eux, je les trouves débiles à souhait, je veux pas qu’il me touche, les entendre et… » avait-il enchainé en parlant de plus en plus vite, avec de plus en plus de colère dans la voix pour s’arrêter net et lever les yeux vers le plafond, fixant le vide. Il était plongé dans son crâne, l’envie de poser ces deux ampoules de venin de Tentacula, et A.J. C'était A.J. qui le tenait ici et par la force de l'habitude, il s'était fais à ses élèves.

« Je ne hais pas mon fils. » finit-il par constater après une longue étude internes des faits, des pour et des contres, …
« Enfin je pense. Je veux toujours le garder, qu’il reste en vie… Qui sait, qu’il me suive plus tard avec les dragons mais… J’aime pas les enfants. Et je pense qu’il pense que je ne l’aime pas. » fit-il un raccourcis de sa longue réflexion. Et un léger bruit de verre qui se fend comme une douce clochette lointaine dans la pièce.
« Sauf que je fais le maximum pour lui, je peux pas faire plus. J’en suis… neurologiquement incapable… » fit-il, la tête baissée, venant s’appuyer sur un pieds puis l’autre.

« Putain ça brûle…PUTAIN ! ÇA BRULE ! » fit-il en voyant le venin des ampoules glisser le long de ses mains et ses bras. Il les avait brisé à serrer les mains trop fort de stress et d’angoisse.
« AAAAaaaaHou !!! » fit-il un peu en panique, jetant un regard paniqué à Jesse et se dirigeant rapidement vers le lavabo pour tout rincer, poussant des petits cris de douleurs et sautillant sur place. Il se contenait un maximum.

 

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Vael secouait la tête de haut en bas, puis de gauche à droite par la suite.

« Oui, il le faut. Mais dis pas que c’est moi. Elles sont déjà pas aimables alors si elles m’en veulent… Ca va être très désagréable. » — pour lui il entendait. Déjà devoir se forcer à leur montrer un peu d’attention comme répondre à leur bonjour trop agressif d’hypocrisie, c’était pas agréable… Après, elles sauraient que ça viendrait du prof de Soins aux créatures et c’était bien parce qu’elles le connaissaient bien qu’elles n’étaient forcément très aimables avec lui non-plus. Certes, Vael était… particulier mais ça ne l’empêchait pas de se montrer plus poli et correct. Et d’arrêter de trainer là il n’a aucune raison d’être… Mais Vael, il aimait venir ici… Pour ces moments un peu comme ça, à s’isoler, à trier car il savait que ça allait vite reprendre ses mauvaises habitudes dans cette armoire, il n'aura jamais finis de venir la trier à sa manière… Puis Jesse. Il avait au moins cette douceur et cette patience, ce calme qui… le rassurait. Le médicomage était une source de confiance. Ce n’était pas encore totalement ça mais il en était proche. Un an et demi qu’ils étaient collègues sur le château et il pouvait toujours compter sur le soutient de Jesse et à n’importe quelle heure. Ses crises d’angoisses, ses questions existentielles, son fils… et même sa mère. Peu de gens savaient et pas qu’il s’en cachait même si… C’est un peu un réflexe d’une époque ou les maladies comme la schizophrénie ou autre trouble neuro-psychologique étaient tabou. Et l'est toujours, même si l'approche est plus... "humaine" soit disant. Elle était folle et on ne criait pas sur tout les toits que sa mère est folle. Bon dans leur quartier moldu peut-être. Elle était la folle du village mais c’était presque devenu affectif. On veillait sur elle, sur cette famille, tous ces hooligans et leur mots terriblement blessant. Ils crachaient de l’acide mais ils étaient prêts à soulever la ville si on s’en prenait à Mme Moreau. La mère folle et son fils gogole…
Enfin il en parlait peu et il gérait ça, très souvent seul… Certes les voisins étaient là et heureusement, puis même si Robyn avait ses défauts et ne l’avouerait jamais, elle passait la voir de temps en temps. Son fils aussi… Mais Vael portait tout. Il avait cette impression en tout cas. Lorsque ça devenait trop compliqué, comme quand elle était persuadé qu’elle devait se tuer pour que l’équilibre du monde puisse avancer, il n’y avait que lui et tous ces médecins qui disaient la même chose : elle est folle, elle devrait être enfermée. Ce n’était pas les mots exacts, mais c’est ce qu’il entendait.

Le silence de ses sourires… Ils lui faisaient tellement de bien dans ce château… Et aujourd’hui, il n’était pas question de Jules Moreau sa mère, mais de A.J., son fils. Il doutait un peu de sa paternalité, de ce que pouvait ressentir son fils face aux manques d’outils pour lui montrer à quel point il tenait à lui. Il n’était pas réellement question des élèves en réalité, tout revenait à son fils. Il ne trouvait pas ça si légitime d’être ici pour ces élèves car il était loin d’être un prof hors-pair. Il n’y comprenait rien en pédagogie et ratait la moitié de ses propres cours parce qu’il n’en avait tout simplement pas la force. Tout le monde se demandait pourquoi il était là ce pauvre professeur. Il n’est pas grandiose, pas un ancien aurore aux nombreuses médaille, ni le plus beau, le plus fun… Il remplissait un cota… Ca faisait bien vu et inclusif. Bon après, il n’était pas le plus grande des dargonologue certes mais il était connu bien pour ce coté si particulier qui le caractérisait et ce lien. Il avait le don de créer un lien avec ces dragons, de vraiment les comprendre. Il était incollable à leur sujets et rien ne lui échappait à la réserve.

« J’sais même plus comment j’en suis arrivé là… » soupirait-il, perdu dans un flot, un torrent de penser, des images et des paroles pas forcément en lien qui se superposait dans un kaléidoscope d’émotions et de sentiments qu’il analysait difficilement.

Les paroles de Jesse l’avaient touché d’une certaine façon. Oui, rien que son propre père ne s’était pas donné autant de peine pour lui. Vael a eut au moins le mérite de dépasser les huit ans de A.J. avant de fuir même si… C’est un peu ce qu’il a fait ces dernières années. La douleur de l’abandon de son père, des brides de leur disputes ce soir là où il n’avait plus de mot mais que des cris en souvenirs. Il ne voulait juste pas s’en souvenir. C'était différent, mais il avait souffert des actes de ses parents. Sa mère... Ce n'était pas de sa faute si elle le blessait... moralement comme physiquement. Juste... Je me dis que si je l'avais confié à la naissance comme on avait prévus avec Robyn, il aurait peut-être eu une meilleure vie. Plus équilibré. Je l'aurais pas abandonné à une mère complètement taré comme mon père a fait et.... je réfléchis mais je l'ai laissé à Robyn et ma mère, je l'ai laissé entre deux femmes... Bref.

Il en avait brisé les ampoules qu’il tenait dans ses mains et le venin commençait à lui bruler la peau. Vael s’était mis à légèrement paniqué, avant même de réellement sentir la douleur. Il s’était préparé d’avance et là désormais ça faisait vraiment mal. Il gémit alors un peu plus fort avant de se précipiter sur le lavabo pour se rincer les mains en toute hâte.

« J’aimerai t’y voir… » grognait Vael en trépignant devant le lavabo, trouvant que l’eau fraiche n’aidait pas forcément, pas pour la douleur tout du moins. Le médicomage se penchait alors, gardant son calme ce qui aidait endorment Vael même si ça ne se voyait pas. Disons que ça aurait été pire si l’autre sorcier avait paniqué ou hésité un instant. Il se laissait faire, poussant un petit soupir de soulagement quand l’essence de dictâmes vint se répandre sous son épiderme. D’abord les cloques et doucement la douleur qui n’était enfant encore qu’un écho, n’étant déjà plus réellement là, si ce n’est sous son crâne. Vael avait fermé les mains à plusieurs reprise pour vérifier qu’il avait la faculté de chacun de ses doigts et pour laisser se répandre la potion curative. Il avait légèrement grimacé, ça picotait encore un peu quand même.

« Hm, je pense… que ça va. Non j’ai mal. J’aime pas avoir mal. » dit-il brusquement en levant ses grands yeux clairs vers Jesse, l’air suppliant avant que ses yeux ne fuis le contact et observait sur les bandes que Jesse venaient délicatement enroulé autour de ses mains. Vael était concentré sur ses gestes, même fasciné.

Non, il était vraiment en confiance avec lui. Il n’y eut pas de merci, mais cette bouche droite et pincé en était un à sa manière, puis ce hochement de tête pour approuver le soins, tournant et retournant ses mains pour voir les gazes enroulant ses mains et tirait un peu… juste là et voilà, c’était pareil sur ses deux mains.

« Dis… Tu… Pourrais faire passer des tests à mon gamin… ?  » lui demandait-il brusquement.

« Tu peux faire ça ici ? J'veux pas l'amener à l'hôpital » — parce qu'il l'avait tellement mal vécu. Les hôpitaux lui était tellement familier et angoissant à la fois, entre sa mère et lui.

Il avait juste penser à tellement de chose, à des anti-douleur bien fort ça lui ferait du bien, et qu’il en glisserait à son fils ce soir pour qu’il n’emmerde pas son dortoir. Il était un peu surexcité et un vraie girouette incapable de se concentrer. Il ne voulait pas le voir. Jesse a du le sentir et ils avaient commencé par des tisanes là pour tenter de détendre un peu A.J. et l’aider à dormir le soir, à moins s’agiter dans la journée. Cela n’avait pas l’air de marcher mais A.J. devait surement oublier sa tisane eu diner. Ils n’ont jamais été bon dans leur famille pour suivre des traitements mais… au vu des antécédent dans la famille… Il ne voulait pas le voir mais il faudrait peut-être un jour enlever ce voile de mystère et lui faire passer des tests. Schizophrénie, spectre authistique, alcoolisme, risque de co-sanguinité de sang-pur, … Il était servis ce pauvre petit.

« Pas aujourd’hui ! » se reprit-il avec vivacité avant de se recroquevillé de nouveau sur lui même, le regard ailleurs.
« Mais bientôt… »