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 Down the rabbit hole | Libre

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Jun-Ho Kim

6ème année
Jun-Ho Kim
Âge : 18 ans
Pronoms : Il - He - Him
Nature du Sang et Ascendance : Sang-Pur, il fait parti des quelques familles coréennes à avoir ce privilège. Né dans l'opulence, sa famille ne croit qu’en la pureté du sang et rejette, dénigre tout ce qui ne l’est pas. Il n’a connu que cette éducation qu’il a rigoureusement suivie depuis sa petite enfance, mais il essaie doucement de s’en éloigner. Les Kim profitent d’une certaine popularité et n’a pas peur d’utiliser la force et abuser de son pouvoir pour parvenir à ses fins par tous les moyens. Garder le sang pur de la famille, faire en sorte que la lignée continue par tous les moyens semblent être leur but en fin de compte et Jun-Ho se révèle lentement être un point noir dans leur volonté de maintenir cette lignée si prestigieuse.
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Âge : 25


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Message(# lien) Sujet: Down the rabbit hole | Libre Down the rabbit hole | Libre Empty07.11.23 16:37

La lumière se faisait de plus en plus basse, si bien qu’il en sentait lentement son étau se resserrer autour de lui. Les ombres s’allongent dangereusement plus rapidement que Jun-Ho qui allonge le pas. Il se retrouve dans les souterrains, il avait simplement oublié son écharpe dans la salle de potion. Vu l’heure, il aurait bien mieux dans la salle commune. Dans la panique gagnant son corps, il est presque sûr de ne pas avoir tourné au bon endroit, et la lumière qui vacillait encore il y a quelque seconde semble s’éteindre brutalement, faisant peser sur le serpent sa chape de plomb. Se retrouvant pétrifié, il n’avance plus, ne sait même plus s’il avance ou recule. Ses méninges ne semblent plus vouloir fonctionner correctement. La peur l’étreint comme une vieille amie qu’il n’avait pas envie de retrouver. Ce n’était plus de la peur, mais un peu sentiment d’épouvante.

Reculant lentement, le vert ne parvint qu’à se laisser couler contre un mur, parfaitement pétrifié, son corps ne semblait plus vouloir répondre à la moindre raison. Son esprit ne se focalisait que sur les ténèbres autour de lui. L’impression de se retrouver une nouvelle fois dans cette salle de bain, cette petite pièce étouffante dans le noir le plus total, se smains d’enfants appuyant avec tout le désespoir du monde sur la poignée qui restait parfaitement close. La voix de sa mère, raisonnant terriblement dans son esprit.

Ses mains, agrippées à ses genoux, ses ongles s’enfonçant presque dans sa peau, serrant si fort, tétanisé. S’il n’avait pas montré la moindre faiblesse depuis son arrivée, s’il n’avait jamais failli ni flanché, il était au plus bas. Des larmes traçaient lentement leur chemin sur les joues du sorcier, rien ne semblait pouvoir l’arracher à la terreur à laquelle il faisait face, et pourtant, il espérait que personne ne le trouvât dans cet état.

Il avait perdu la notion du temps, il aurait pu passer quelques secondes comme quelques heures ici, sans bouger, les yeux clos si fort qu’il aurait juré qu’il aurait pu voir la galaxie comme ça. Son corps était si tendu qu’il pouvait sentir ses muscles le supplier d’arrêter tant ils devenaient douloureux. Mais son esprit, lui était parfaitement incapable de faire face. Toute raison s'était envolée.



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Mabel Cyr

6ème année
Mabel Cyr
Âge : 17 ans, le 23 mars.
Pronoms : elle, il. qu'importe. Plutôt elle, par habitude, en questionnement.
Nature du Sang et Ascendance : sang-mêlée ouverte et déliée.
Libre expression : Down the rabbit hole | Libre 1nyp
de kiwi
Messages : 80
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Message(# lien) Sujet: Re: Down the rabbit hole | Libre Down the rabbit hole | Libre Empty08.11.23 23:01

Sa silhouette se mêlait à la pénombre avec un plaisir certain ; sa présence se mêlait aux ombres et s’enfonçait dans l’espace baigné d’obscurité. Ce n’était que dans des instants aussi simples qu’elle avait l’impression de sentir une vague de soulagement l’étreindre. Mabel semblait enfin souffler, son esprit vaquant enfin à ses propres occupations, plutôt que de tenter de fuir les moindres visions qu’elle peut récupérer au milieu d’un foule d'adolescents aux hormones indécises. Elle veillait tard dernièrement, de plus en plus, se moquant superbement des longues heures de sommeil précieuses qu’elle pouvait perdre tant qu’elle trouvait profit à tenter de trouver une solution pour Riley. Mais face à l’absence absolue de solution pour le moment, et ne souhaitant pas rester sur ses acquis de magies vaudou bien trop proches de la nécromancie au goût de la Serdaigle…
Son esprit affûté veillait à trouver des solutions dans les éléments bordés de désespoir… elle s’emmêlait dans des solutions dangereuses, avec la dangereuse envie de céder à un pacte avec un Lwa… même si cela signifiait risquer une malédiction au même titre que son frère Riley. Le silence embaume sa silhouette, tout semblait plus aisé lorsque les couloirs étaient bien moins empruntés, et qu’elle n’avait pas à penser à éviter les corps vaquant à leurs occupations d'adolescents. Tout était si simple, que parfois elle rêvait simplement d’être une créature nocturne au détriment de ses cours. Les cachots étaient parfaits pour son esprit en quête de cette solitude prenante, gravant une marque tiède et réchauffante dans sa poitrine vers un soulagement propice.

Un léger bruit éveille son attention, rien d’alarmant. Dans le vestige de ses pensées, il y a une autre âme existante non loin. Une ombre parmi les ombres, une empreinte similaire probablement en quête de solitude. Mabel ne s’attarde pas la mélodie commune que pouvaient former leurs sentiments entrelacés. Elle s’apprête même à se faufiler pour rejoindre la bibliothèque et plonger son nez dans la réserve pour de plus amples informations. La détresse qu’elle perçoit ne la touche pas d’emblée, trop déconnectée de la réalité pour s’en soucier. L’envie de s’éloigner sans se soucier de sa présence est intuitive, la Serdaigle débordant déjà suffisamment d’énergie négative qu’elle n’avait aucunement le désir d’en avaler davantage. Mais le désespoir est si vif, si prenant, qu’il en est électrique. Mabel a l’impression de sentir une décharge remonter sa colonne vertébrale lorsqu’elle croise l’éclat des traces de larmes sur les joues de l’asiatique.

Pas n’importe quel asiatique. Un Serpentard hautain à la prétention vorace ; ils ne se connaissaient pas vraiment. Voilà six ans qu’ils se croisaient dans le château sans jamais vraiment se parler, même s’ils avaient des cours ensemble depuis la première année. Il faut dire que la jeune femme n’avait pas le standing nécessaire pour se tenir aux côtés de l’aigre serpent, même si sa bonne vieille solitude -et plus vieille amie- y jouait certainement sur quelque chose. Mabel cède à se mettre à sa hauteur, avant de passer une main sous le menton du concerné pour le forcer à croiser son regard : un contact bref, pressé, par crainte d’avaler sa mort en restant trop proche.

« Si tu veux une claque pour tenter de t’arrêter, je peux aider. »

Mabel prononce dans un souffle, parfaitement sérieuse, lunaire et dans son monde. Pourtant, elle grave son regard dans le sien, inquisitrice, sans se soucier nullement d’où pouvait lui venir une telle peine et une telle anxiété. Elle était trop déconnectée de ses propres émotions pour imaginer celle des autres, causant bien souvent une incompréhension. D’un geste précis, parfaitement millimétré, la sorcière dépose un mouchoir sur le genou du serpent,

« Les humains sont les seuls animaux capable de pleurer. » Elle agrémente d’une petite voix soufflée, si ténue qu’elle pouvait ressembler à un murmure. « C’est curieux, tu ne trouves pas ? Pourquoi vivre si c’est pour être triste ? Pourquoi avoir conscience de notre conscience, si c’est pour pleurer à longueur de temps ? »

Le monde était si étrange, et elle s’emmêlait à nouveau dans des tournures étrangement philosophiques, la théorie l’aidant souvent à des regards plus récents. Elle se rend pas compte que c'est indisposé, et que le concerné a très très loin l'envie d'avoir un débat au milieu de ses tourments et des larmes.

« C’est triste de se dire que l’humain est le plus humain possible lorsqu’il pleure. »


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Jun-Ho Kim

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Nature du Sang et Ascendance : Sang-Pur, il fait parti des quelques familles coréennes à avoir ce privilège. Né dans l'opulence, sa famille ne croit qu’en la pureté du sang et rejette, dénigre tout ce qui ne l’est pas. Il n’a connu que cette éducation qu’il a rigoureusement suivie depuis sa petite enfance, mais il essaie doucement de s’en éloigner. Les Kim profitent d’une certaine popularité et n’a pas peur d’utiliser la force et abuser de son pouvoir pour parvenir à ses fins par tous les moyens. Garder le sang pur de la famille, faire en sorte que la lignée continue par tous les moyens semblent être leur but en fin de compte et Jun-Ho se révèle lentement être un point noir dans leur volonté de maintenir cette lignée si prestigieuse.
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Message(# lien) Sujet: Re: Down the rabbit hole | Libre Down the rabbit hole | Libre Empty15.11.23 23:21

La respiration était lourde, ses mains s’agrippant avec force à ses propres cheveux, tirant sur ses mèches, tentant de le ramener à une veine réalité. Les yeux clos, il essayait d’échapper à la noirceur qu’il l’entourait, l’étouffer, l’enveloppant de son étreinte effrayante. S’il ouvrait les yeux, il avait l’impression que la nuit allait le manger, l’engloutir, le dévorer. Elle était la pire et sa plus vieille ennemie. Il avait essayé de s’en débarrasser, de traiter le mal par le mal. ça n’avait fait qu'aggraver la situation. Alors, il avait toujours fait en sorte de l’éviter. La fuyant autant qu’il pouvait. N’importe qui lui aurait hurlé de prendre sa baguette, de lancer un sort, Lumox, il ne fallait pas grand-chose pour le calmer. Mais ce pas grand chose semblait actuellement comme la chose la plus inaccessible. Chacuns de ses muscles étaient contractés douloureusement, chacune de ses cellules étaient remplies de terreur. Sa respiration erratique ressemblait plus à une locomotive à vapeur plutôt qu’à une respiration normale. Il avait beau essayer, rien de semblait le ramener.

Une part de lui suppliait que quelqu’un ne passât, n’importe qui, il aurait le temps de regretter plus tard, que quelqu’un l’achève même. Dans sa terreur, il n’avait même pas entendu les pas se rapprochant. Il avait presque perdu contact avec la réalité. Autour de lui tout était noir, les ténèbres l’engloutissaient et il était incapable de lutter.

La main qui le toucha lui fit l’effet d’une douche glacée, sursautant presque, il ne l’avait pas vu, il ne l’avait pas entendu. Son regard humide se planta dans le sien. Tout était sombre, trop sombre. Sans même qu’il ne le veuille, ou le décide, son esprit se glissa dans le sien, rencontrant les visions des morts qu’elle avait pu voir, s'empressent de rompre le contact, reculant sa tête qui s’écrasa contre le mur derrière lui, les mots qui parvenaient enfin à quitter ses lèvres n’étaient qu’une supplique.

- De la lumière, s’il te plait…

Il ne semblait même pas se formaliser sur mouchoir qui venait d'atterrir sur sa cuisse. Elle avait beau parler, il ne parvenait pas à donner de sens à ses mots. C’était presque douloureux de l’écouter. C’était douloureux de l’entendre. La peur le rendait agressif, et pourtant il n’arrivait pas à faire le moindre geste. Il avait beau essayer de contrôler sa respiration, elle restait parfaitement sporadique.

- Ferme là, putain, boucle là. De la lumière, j’ai besoin de lumière !

Sa voix se brisait dans sa supplique, son regard devenait fuyant alors qu’il regardait à droite et à gauche complètement paniqué, il n’arrivait à le fixer à rien, il ne voyait rien. Sa philosophie, il voulait la lui faire bouffer. La faire taire, sa voix était douloureuse, elle n’était pas la bienvenue. C’était sombre, trop sombre.

Il n'avait plus aucune fierté, elle était loin l'étiquette. Il n'avait plus aucun masque à mettre sur la terreur qu'il affichait.



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Mabel Cyr

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Message(# lien) Sujet: Re: Down the rabbit hole | Libre Down the rabbit hole | Libre Empty19.11.23 11:38

Le sursaut est un appel à détresse qui poignarde la Serdaigle ; baignant dans l’incertitude, aucune idée viable ne lui vient à l’esprit. Son propre pouvoir se met à crépiter, à flamboyer tant les émotions du Serpentard se font prenante. Et face au chaos émotionnel qui lui fait face, Mabel effleure enfin un brin de ses sentiments lorsque le regard humide de l’asiatique vient trouver les siens. Souffle coupé, elle en oublie presque comment respirer, son souffle s’envolant au gré des cieux face à la teneur de l’évènement. Tout était trop intense pour la jeune sorcière, tout était beaucoup trop prenant, que l’idée de fuir et le laisser dans sa merde était tentante… Alors qu’est-ce qui la rattachait encore auprès de sa présence ? Pas grand chose, un point au coeur, et la manie de son frère à réussir à étouffer les maux d’autrui par sa chaleur. Mabel aurait aimé avoir ce pouvoir, mais elle n’était qu’une âme fébrile, glaciale, incapable de laisser son épiderme croiser la peau d’autrui trop longtemps. Ce n’était pas quelque chose pour elle, son pouvoir lui ayant volé cette trouble possibilité.

L’agressivité qui lui fait face la fait sursauter, et elle ne prend guère plus de quelques secondes pour remarquer qu’il ne semblait prêter aucune attention aux paroles qui découler entre ses lèvres qui se voulaient malgré tout rassurantes et apaisées. Mabel avait fait la trouble erreur de le traiter comme un passage particulièrement mélancolique de sa vie… Mais l'illustre et mesquin personnage n’était pas triste, il avait dévoré par un monstre dévorateur ; il se faisait avaler par une anxiété si vivace qu’il en perdait ses moyens. Le nez froncé, l’assaut mesquin dont il fait preuve soutire un brin d’agacement chez la Serdaigle.. Mais malheureusement, les crises pareilles elle connaît. Son cerveau bourdonne parfois de la même manière lorsqu’elle n’est plus capable de supporter les visions d’horreur et morbides qu’elle voit au fil de sa journée : des images imposées, jamais plaisantes. Ayant une affinité particulière avec l’élément aqueux, au point de n’utiliser que celui-ci lors de ses sortilèges poussés, elle fait naître une petite boule d’eau flottante ; avant de plonger sa baguette dedans pour lancer un lumos. L’eau réverbère des lueurs aqueuses, océaniques sur leurs deux silhouettes. Le visage du serpent est baigné d’une lumière légère, des lueurs bleuâtre lui donnant un air presque cyanosé  ; le chatoiement danse sur les murs, en un reflet miroitant et incertain.

« Tu as ta lumière. » elle souffle à nouveau, avec un brin d’agacement, pour lui rappeler qu’elle n’aimait pas être traîtée d’une telle manière malgré l’urgence de la situation.

Son regard vient s’enfoncer dans le sien, alors que ses doigts viennent capturer son menton, forçant une direction pour qu’il ne regarde que l’eau. Ses doigts bourdonnent, tentent d’attraper sa mort ; elle se retient néanmoins de plonger, même si son propre souffle devient erratique. Alors, elle trouve sa propre voix pour s’aider à rester concentrée, aidant tous les deux à ne pas plonger par le biais d’une chanson vaudou et haïtienne.

« He sou lanmè mwen te ye. Moun yo mtap navige. Batiman pa pou mwen. Batiman mèt Agwe » elle chante doucement, se souvenant du nombre de fois où sa mère le lui chantait pour apaiser ses maux.

Sa voix est légèrement rauque, perce le silence ; les baigne dans une ambiance étrange et passagère. Son chant a pourtant été ténu, comme si elle avait peur de s’attirer les mauvais esprits en chantant trop fort ; par crainte de chanter trop faux. Néanmoins, rouvrant ses prunelles, elle perçoit les pupilles du vaurien qui semble un peu moins dilatées, elle lâche alors le contact, avant de prononcer d’une petite voix sifflante.

« C’est bon, t’es capable de respect désormais ? »



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Jun-Ho Kim

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Message(# lien) Sujet: Re: Down the rabbit hole | Libre Down the rabbit hole | Libre Empty10.12.23 20:17

Il n’était pas reconnu pour sa grande amabilité. Crise de panique ou pas, il ne restait pas quelqu’un de particulièrement agréable quand on ne prenait pas la peine de le connaître un minimum, et, le cas échéant, il pouvait parfois manquer de tact. Il le savait et, il s’en fichait complètement.

Son coeur battait à tout rompre, son corps était engourdi d’une terreur dont il ne parvenait pas à se débarrasser, vivant en boucle ces images du passé. Il s'accrochait à ce qu’il pouvait. Le regard de Mabel, sa présence, n’importe qui pouvait le faire se souvenir qu’il était encore ici, sur Terre. Son esprit cherchait à fuir, n’importe où tant que c’était loin de ses pensées plus qu’agité. Pourtant, ce qu’il avait entre aperçu avait suffit à faire grandir l’angoisse qui le rongeait.

L’agressivité, c’était sa seule réponse. Son corps bandé, son esprit prêt à attaquer. Il ne voulait pas l’entendre parler, il voulait désespérément un peu de lumière. Juste un peu. Chasser ses ombres qui s’allongent dans la pénombre. Oh, il avait eu mille conseils pour apprendre à gérer ses crises. La voix froide de sa mère lui disant d’arrêter, de se contrôler, que ce n’était pas digne de lui, pas digne de la famille. Les heures à apprendre à respirer, à tenter de contrôler la peur. Toujours en vain. C’était là, et il avait juste appris à faire avec. Normalement, ce n’était pas compliqué d’avoir toujours un peu de lumière à portée de main, de baguette. Pourtant, là, il avait beau tendre les doigts vers sa baguette avec le désespoir d’un condamné, son corps semblait parfaitement incapable de se mouvoir.

Finalement, la lumière, salvatrice. Il la fixait, sans pouvoir la lâcher du regard. C’était comme un poids qui semblait s’envoler de sa poitrine.Sa respiration, sa pulsasion cardiaque, toujours à un rythme ahurissant, eux, ne semblait pas vouloir se calmer. Son corps, engourdi, avait du mal à retrouver sa mobilité. Ses muscles étaient endoloris tant ils avaient été tendus. Il avait l’impression de se réveiller d’une longue torpeur. Son esprit reprenait lentement possession de son habitat. Clignant plusieurs fois des yeux, il posa à nouveau son regard sur Mabel.

Les circonstances auraient voulu qu’il la remercie, sûrement. Pourtant, il se contenta d’hausser les épaules. Être sa propre lumière ? Il avait l’impression d’entendre sa mère, lui disant qu’il devait prendre sur lui. Qu’il devait prendre sur lui. La vue encore trouble. Aucun mot ne semblait traverser ses lèvres. Sa respiration erratique semblait lentement retrouver son calme, et si son cœur pulsait encore dans ses tempes, il reprenait lentement possession de ses moyens. Écoutant sa voix, semblant le bercer lentement. Il aurait peut-être voulu que sa mère fasse de même, le rassurant plutôt que de lui hurler dessus. Chanter pour le rassurer, plutôt que de l’enfermer dans cette salle de bain.

Redressant finalement la tête, regardant ailleurs, tentant de mettre son égo blessé de côté. Trop honteux d’être apparu comme ça devant une illustre inconnue.

Il n’avait pas fallu lontemps au corréen pour retrouver cette condescendance qui semblait être quelque chose d’inné chez lui. Se penchant légèrement, il parvenait enfin à mettre les doigts sur sa baguette, l’enserrant avec force. Si l’envie prenait à Mabel d’éteindre la lumière.

- ça dépend envers qui et pour quoi.

Il planta son regard dans le sien, avec ce sourire suffisant qu’il semblait être indissociable de la personne qu’il était. Simple masque, simple couverture, lui permettant de faire face à ce qu’il venait de subir. Lentement il détaillait Mabel du regard, sans bouger. Avant de soupirer doucement, se relâchant légèrement, il désamorçait son propre système de protection.

- Merci… Vraiment. ça aurait pu continuer longtemps.

Il fronça finalement le nez.

- N’en parle pas. A personne.

C’était plus un ordre qu’une demande. Mais il était hors de question que quelqu'un le sache, ou l’apprenne. Et si quelqu’un l’apprenait, il saurait d’où ça venait.



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Mabel Cyr

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Message(# lien) Sujet: Re: Down the rabbit hole | Libre Down the rabbit hole | Libre Empty16.12.23 20:23

Un minable pédant et désagréable : heureusement qu’il avait un visage dessiné et des prunelles étayées d’intelligence, des signes clairsemés qui permettaient à la Serdaigle de lui accorder brièvement de son attention. Son esprit effusif s’éloignait déjà de la situation à mesure qu’il reprenait conscience, cet air adouci et tourmenté lui donnait l’allure d’un bad boy tout droit sorti d’un des romans pour adolescentes que Mabel dévorait parfois à défaut d’avoir de vraies romances, même si elle trouvait l’histoire toujours aussi fondamentalement ridicule. Puis elle est toujours tellement paumée, elle se demande pas vraiment pourquoi il est dans un tel état : Mabel se fiche bien de ce type. Il n’est qu’une note passagère qui sonnait faux sur sa partition si somptueuse ; elle l’oublierait décemment vite parce qu’il était une mort de plus à oublier. Pourtant, son regard s’attarde sur les lignes de son visage : c’est un masque placide qui lui fait face. Emprunt d’une politesse désuète, capable de tromper ceux qui ne le connaissaient pas vraiment… mais face à l’amplitude de nuances d’émotions qu’il a fait apparaître sous les yeux de la sorcière, elle sent la fausseté dans ses commissures appliquées à lustrer ce sourire factice. Le savoir ne fait que l’agacer : elle a du mal à lire les gens, les émotions se défilent facilement de l’emprise de la jeune femme à cause de son pouvoir invasif. Les sorciers comme le coréen sont pénibles à comprendre et à appréhender.

« T’sais, c’qui vient d’se passer… c’était par amabilité. T’as le cerveau bousillé par les apparences que tu tentes de renvoyer… mais j’y voyais pas une opportunité de te faire chanter avant que tu le proposes toi-même. » qu’elle répond machinalement, de sa voix toujours rocailleuse, en pensant que c’était d’un évidence qu’elle comptait garder ça pour elle.

Toute sa présence suffit à l’agacer désormais, Mabel n’aimait pas qu’on lui donne des ordres. ; la Serdaigle plonge intuitivement son regard dans le sien, en quête des restes de la mélancolie qui l’avait attrapé auparavant. Mais elle n’y lit rien, et perçoit seulement sa silhouette dans l’obsidienne moite de son regard. Elle aimerait grincer des dents ; parce qu’il réveille en elle autant d’antipathie que de sympathie. Il éveille un trouble sincère, mélange de pitié pour sa condition, mais il pue l’aristocratie à plein nez. Le gamin de bonne famille pas capable de péter plus haut que son cul ; Mabel d’une nature simple ne peut que s’éloigner des gens de bonnes familles qui voyaient la magie vaudou comme une tare et une aberration au monde sorcier. Mais elle avait capturé une rare partie de lui : celle qui se cache dans les entrailles de Poudlard.

« Ça va, ça va. J’rigole, c’est qu’une vanne… »

Elle concède dans un petit rire envolé, si rauque qu’elle se brûle presque la gorge : c’est la pitié qui la ramène à devoir user d’un brin de sympathie. Jun-Ho est fait de mensonges, il a tissé une toile épaisse autour de lui en guise de protection. Une armure qu’elle aimerait déchirer de ses petits doigts fins, elle lui glisse même un léger sourire éclairé par les boules d’eau lumineuses. Quelque chose d’infime la pousse à en vouloir davantage, à vouloir creuser derrière le mensonge pour y trouver un brin de vérité. Pour connaître le réel Jun-Ho, celui qui se cache dans la pénombre des couloirs.

« En vérité j’me fiche bien de savoir que tu flippes dans le noir. »

Elle répond d’un petit haussement d’épaules, la malice venant couvrir ses traits, creusant deux fossettes sur ses joues sombres. Pourtant, elle relève le regard. Il était plus grand et était assurément la preuve de la masculinité même : Mabel observe longuement sa mâchoire, sa carrure aux épaules noueuses et l’arrête de son nez ; rêvant machinalement d’avoir des traits aussi marqués et des épaules aussi larges que les siennes… pas vraiment en train de le mâter. Un brin peut-être. Mais c’était dans l’objectif sincère de s’extirper de son corps trop… et pas assez à la fois.

« Par contre… t’as forcément un bon petit bouquin bien poussiéreux dans tes cartons sur les magies interdites. J’te l’emprunterais bien en signe de ton infinie reconnaissance. »

D’accord, elle était pas Serpentard. Mais pas besoin de ça pour ne pas être opportuniste.



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Message(# lien) Sujet: Re: Down the rabbit hole | Libre Down the rabbit hole | Libre Empty21.01.24 20:43

Son pouls se calmait enfin, et il reprenait une certaine contenance. Calmement, il l’observait, voyant bien qu’elle ne lui accordait pas vraiment beaucoup d’importance,et, par chance c’était réciproque. Lentement il redevenait lui-même, la toisant avec une désinvolture qui lui était propre. Il n’avait pas envie d’être ici, et il semblait lui accorder la même important qu’elle lui accordait, c’est à dire juste assez pour lui adresser la parole, et seulement parce qu’il était dans une situation qui le demandait.

Son visage ne lui disait presque rien, il l’avait vu en cours, oui, ça il en était sûr, son prénom, non, il avait beau se creuser la tête, il ne l’avait pas entendu. Et s’il a bien une chose à laquelle il pouvait se fier, c'était sa mémoire. Infaillible parfois même à l’extrême, il aurait parfois préféré oublié.

Cet inébranlable sourire sur son visage, celui avec lequel il passait sa vie, celui avec lequel tout le monde le voyait et Mabel ne faisait pas exception aujourd’hui. Elle en avait vu largement assez, beaucoup trop, beaucoup plus que n’importe qui ici pour qu’il lui serve autre chose.

- Personne n’est aimable sans chercher à avoir quelque chose en retour. Et même si c’est pas aujourd’hui, ce sera peut-être demain, j’prends mes précautions, c’est tout, lâcha-t-il a sa suite, loin d’être vexé par les mots qu’elle venait de poser.

Il jouait sur les apparences, c’était comme ça, inscrit dans ses gênes, mécanique, c’était l’une des protection fondamentale qu’on lui avait appris dès qu’il avait été capable de penser par lui-même. Protéger les apparences, à tout prix, c’était ce qu’il faisait de mieux. Il avait appris à se couvrir, mécanisme de défense dont il ne se rendait même plus compte. C’était devenu un trait de caractère, cette incapacité à se dire que tout le monde n’était pas mauvais au premier abord.

Son rire lui fait esquisser un sourire, une brèche peut-être ? ou non, ne s'agissait-il que de politesse ? C’était difficile à estimer. Même pour lui tant l’armure était épaisse.

Il fronça le nez perplexe, elle s’en fichait ? Vraiment ? Pouvait-il vraiment lui faire confiance sur ce point ? L’idée d’aller vérifier lui-même passa dans sa tête et pourtant, le souvenir qu’il en avait de sa dernière incursion mentale le stoppa net. Il se contenta de la regarder, restant circonspect.

- Mh, j’te laisse le bénéfice du doute, je suppose. C’quoi ton nom déjà ?

Ce serait déjà peut-être un départ, d’avoir son prénom, au moins pouvoir nommer le visage qui l’avait vu au plus bas. Avec un certain amusement, il intercepte son regard, et se contente de croiser les bras, levant un sourcil.

- Si j’avais ça, ce ne serait sûrement pas ici au château. Et si notre bibliothèque chez moi possédait de tels livres, ça ne justifierais absolument pas qu’il rentre en ta possession. Sauf si t’as une bonne raison. Tu cherches quoi ?

Une telle demande était forcément motivée par quelque chose. Peut-être qu’il serait disposé à lui partager un tel ouvrage s’il en savait un peu plus. Et puis la curiosité l’avait rattrapé. Il voulait en savoir plus.

- J’pourrais venir chercher la réponse par moi même, évoqua-t-il tranquillement, admettant librement qu’il pouvait sans effort se glisser dans sa tête, même s’il ne le referait pas, pas avec elle, il ne savait pas ce qui clochait avec elle mais ce bref aperçu qu’il avait lui suffit pour plusieurs semaines.

Tapotant nerveusement ses doigts sur son bras, le lieu continuait de le mettre mal à l’aise.





the mean
Who is in control?
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Mabel Cyr

6ème année
Mabel Cyr
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Pronoms : elle, il. qu'importe. Plutôt elle, par habitude, en questionnement.
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Message(# lien) Sujet: Re: Down the rabbit hole | Libre Down the rabbit hole | Libre Empty28.01.24 12:46

Son argument était pas faux, mais Mabel était persuadée que c’était à cause de type comme lui que les gens étaient devenus de véritables connards. M’enfin, ça lui passe au dessus à la Serdaigle. Elle se content de le jauger de son petit air penaud, ses prunelles sombres rivées dans les siennes, ses sourcils à peine froncés. Même elle savait pas vraiment qu’en penser, d’habitude les types comme Jun-Ho elle les évite, trop problématique pour sa personne, et trop dans le jugement vis à vis de sa magie vaudou jugée comme archaïque. Certains l’évitaient à cause de sa baguette noircie par la magie noire… bwarf, le Serpentard s’il la trouvait étrange ne semblait pas s’en accommoder. Ou pas le montrer ouvertement ? Aucune idée, elle a du mal à capter quand les gens la prennent comme une créature cheloue et étrange qu’il fallait pas froisser par crainte qu’elle fasse des poupées.

« T’peux m’appeler Mabel. »

Elle enfonce ses mains dans le pantalon d’uniforme qu’elle avait échangé à un gars de sa promo en échange d’un grigri qui devait lui apporter la réussite. Pensant initialement que sa proposition allait finir dans l’oreille d’un sourd, la surprise vient couvrir son visage, avant qu’elle n’esquisse un bref sourire appréciateur. La bouteille lancée avait trouvé étonnamment vite une solution. Mabel ne se faisait pas d’espoir : avoir les informations en main ne lui permettrait probablement de sauver son illustre frère. Mais ça permettrait d’éliminer des pistes qui n’avaient pas encore été tentées.

« Quand j’explique aux gens ils comprennent que dalle. »

Elle soupire un brin : il pouvait pas juste lui refiler le truc au lieu inutilement tourner autour du pot ? Elle voit en Jun-Ho qu’un outil, quelqu’un qu’elle peut user à son avantage. Peut-être qu’il voyait en elle la même chose : qu’importe, les échanges de bons procédés les mèneraient vers le haut. Puis sincèrement, elle n’est pas du genre à cacher les choses tant qu’on lui pose les questions adéquates, sinon elle omet souvent les détails. Bras croisés, c’est de sa voix grave et morne qu’elle répond, ayant le don manifeste de rendre chacun de ses phrasés monotones.

« J’cherche à réparer une malédiction. J’connais quelqu’un qui a heurté un lwa une divinité vaudou, résultat y a des vévés, genre des sortes de tatouages, qu'arrête pas de pousser sur son corps. Et quand il sera entièrement rempli par les vévés, bah il va crever. C’est à cause d’un rituel qu’il a fait. »

Son discours est toujours décousu, la Serdaigle a du mal à faire le lien entre les choses, elle a du mal à construire des discours viables. Tous les mots qu’elle débite s’enclave entre eux et résonnent comme une craie sur un tableau, elle ajoute les informations à chaque fois qu’ils apparaissent dans son esprit. Elle l’avise d’un oeil voilé, guettant s’il avait compris un peu de son imbroglio… mais elle avait fait l’effort de mettre  un peu de forme et de contexte. Mabel préférait pour le moment se rattacher à rien, l’espoir était bien dangereux à ses yeux, et sa raison l’amenait à rester dans cet état de méfiance.

« C’que j’connais fonctionne pas, et il refuse de prendre un peu de vies d’autre gens pour gratter un peu pour lui… donc faut trouver un autre moyen hors catégorie. Y faudrait l’genre de bouquin où quand tu l’ouvres ta vision d’la magie change complètement. L’genre qui peut faire des miracles ? »

Les solutions à sa portée n'étaient pas suffisantes. Mabel espérait qu’il avait un grimoire qui tâchait les mains mais qui serait au moins nécessaires à sauver son frère. Elle serait prête à aller jusqu’au bout si besoin, et embarquer Jun-Ho dans l’histoire… peut-être même le sacrifier au passage ?

« T’sais, j’te le rendrais pas besoin d’faire des recherches. On peut faire un serment inviolable s’tu veux. »

C’est pas vraiment la magie noire qui lui fait peur. Puis bon, elle tenait ses paroles. Au pire des cas elle prendrait des photos du bouquin.. ou s’amuserait au pire des cas à le réécrire.



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