Un pas après l'autre

feat. Mikko et Laureen

Ramassant mes affaires, je quittais le club de duel en toute hâte. Il ne me reste plus que quelques heures avant le couvre-feu et si je veux profiter de quelques instants en compagnie de  @Laureen Wilson  c'est le moment ou jamais. Habituellement, je prends toujours le temps pour être en sa compagnie le temps d’un repas, d’une soirée ou d’une sortie. C'est, selon moi, le minimum à faire si l'on souhaite s’investir dans son couple, passer un peu de temps avec l'être aimé. Sauf que, malheureusement avec les cours, les études, parfois les amis… Bien ce n'est pas toujours possible de passer un petit moment seul, en tête à tête, et aujourd'hui ce fût un peu le cas.

Toutefois, malgré que je sois un peu serré dans les temps avant que chacun regagne impérativement sa salle commune respective, je tenais à voir Laureen, à lui dire mille je t’aime et à la couvrir de baisers avant de lui souhaiter une bonne nuit. Je sais c'est un peu fleur bleu mon truc, voir ultra dégoulinant de romantisme, mais bon j’ai été élevé ainsi. Mon père lui-même était ainsi et cela lui a plutôt réussi, car je n'ai pas connu de couple plus uni que mes parents. Leur amour transcendait la réalité et personnellement je me souhaite la même chose pour ma vie future. Je ne sais pas si cela sera avec Laureen, mais j’aimerais bien que ce soit le cas. Je me sens particulièrement bien en sa compagnie, elle et moi on se comprend, se complètent tellement bien que je ne peux que penser à un avenir merveilleux avec elle… Enfin nous verrons bien.

Sac à dos en bandoulière sur mon épaule, je me rua vers la salle de danse. Je connais suffisamment la jolie rouquine pour savoir que rien ne lui fait le plus plaisir que de danser et que c'est l’activité qu'elle pratique régulièrement dès qu’elle à du temps libre. Il me faudra d’ailleurs upgrader mes talents de danseurs de mon côté, car si j’aime danser et me déhancher je n’ai pas réellement le niveau de Laureen, mais j’aimerais bien apprendre… Puis personnellement, je ne dirais jamais non à une danse en sa compagnie. Poser mes mains sur ses jolies hanches, la sentir bouger au son de la musique, son doux parfum enivrant mes sens alors que nos yeux se croisent et se dévorent…

De multiples images des plus coquines me vinrent alors à l’esprit et je devenais de plus en plus impatient de retrouver la jolie rouquine. Sentant mon désir se faire plus ardent pour la belle Laureen, je tentais de me changer rapidement les idées, sauf qu’en entrant dans la salle de danse je fus témoin d’un spectacle des plus… Magnifique… Ou plutôt… Excitant!!!

Laureen était là, seule, dansant sensuellement et très langoureusement au son de la musique. Tous ses gestes n'exprimaient que grâce et volupté et je n’étais nullement insensible à ceux-ci. Ne pouvant détacher mes yeux de son très joli corps, je resta planté là bêtement, mon regard glissant sur chacune de ses courbes avec intérêt et envie. Dire que je n'appréciais pas le spectacle serait un grave mensonge, car il suffisait de porter son regard sur mon pantalon pour facilement y voir une bosse qui était absolument tout sauf discrète.

Me consumant littéralement de désir pour Laureen, je me languissais de pouvoir la serrer dans mes bras, de goûter ses lèvres, de glisser mes doigts sur ses vêtements parfaitement ajustés à ses jolies courbes, sauf qu’en approchant de trop près j'avais peur que le spectacle s’arrête subitement et cela je ne le voulais pas. Je veux qu’elle continue de danser, sa façon de bouger m’excite au plus au point et c'est une véritable torture de regarder sans toucher… Sauf que cette torture est vachement agréable… Grrr j’ai envie de la croquer, délicatement et tendrement, la sentir frémir sous mes doigts…

M’approchant un petit peu plus, afin de mieux la voir encore, je continuais de me faire plaisir du regard, mon pantalon commençait sérieusement à me serrer un peu trop, mais je n’osais pas faire un mouvement de plus, ni même respirer… Admirant sans vergogne les courbes de cette jolie rouquine jusqu'à ce que la musique et la danse ne prenne fin d’elle-même.