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 who the fuck do you think you are, talkin' to me like that ?

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Javier Stein

6ème année
Javier Stein
Âge : 18 ans
Pronoms : il, lui
Nature du Sang et Ascendance : Son sang-mêlée (et sa mère est cracmole)
Libre expression : Astronomie (P)
Défense Contre les Forces du Mal : (A)
Métamorphose : (EE)
Potions : (A)
Sortilèges : (EE)
Étude des runes : (D)
Duel (O)

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Danse depuis son enfance, entrainé et coaché par sa mère ;; charismatique et sanguin ;; est né et a grandit en Corée, appelé Baek Hyun, Javier est son deuxième prénom ;; a étudié à Mahoutokoro, arrivé à Poudlard fin sept 2009 ;; parle coréen, japonais, espagnol et anglais (usa) ;; mère ancienne danseuse de ballet, désormais prof au Korea National Ballet et son père est un ancien chanteur de rock sorcier, désormais à la tête de sa propre marque de vêtement sorcier dit Stein // danses : classique, modern, contemporain, approche du hip-hop et danse magique et la kizomba mais c'est pour draguer ça. Bon en général avec les moldus dommage...


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Message(# lien) Sujet: who the fuck do you think you are, talkin' to me like that ? who the fuck do you think you are, talkin' to me like that ? Empty21.04.24 1:13

Die Young — STORM
@Balthazar Rowell

 8 Mai 2010
Javier avait fait de la merde ces derniers temps… Mais d’avoir pu avouer enfin ses sentiments à Min-Ho, il… dire qu’il avait l’esprit plus léger, il n’en savait rien. Erin lui manquait toujours même s’il ne voulait pas se l’avouer et autant qu’il en était capable, il essayait d’ignorer l’autre connard d’Emile avec la brune… Mais c’était toujours aussi agaçant. Il restait distant, ne cherchait pas la merde mais… c’était agaçant. La fierté, des sentiments toujours là mais… Il a surtout souffert de perdre Min-Ho, il devait se concentrer sur lui. Juste lui et eux. Il avait terriblement besoin de danser pour se vider un peu la tête, tenter de faire ressortir tous ces sentiments et ces émotions qu’il étaient incapables de gérer et laisser paraitre ou assumer. C’est par le langage du corps sur une mélodie qu’il y arrivait mais… ça faisait un petit moment qu’il boudait la danse, sa vocation depuis le ventre de sa mère… Avec une mère danseuse de ballet aussi, ce n’était pas difficile. Il a toujours été en admiration devant sa mère déjà tout petit, les yeux grands ouvert qui suivait cette silhouette se mouver sur le vieux parquet de la salle de danse.

Il avait pas mal perdu, comme de son endurance, de sa rigueur et précision dans ses gestes. Il ne sait combien de fois il était tombé, avait trébuché, quittant le classique ballet pour du contemporain. Plus… simple et … non c’était tout aussi technique mais il pouvait mieux laisser aller ce qu’il avait sous le crâne, faire parler ses colères, ses peines et ses trauma. Si sa mère voyait son niveau alors qu’il y allait avoir surement des auditions et concours cet été, elle allait lui éclater sa douce et passionnée langue maternelle dans les oreilles et pourquoi pas quelques claques derrière la tête, se sentir obligé de venir dans le coin pour venir l’entrainer… Et étrangement ça le fit sourire. Elle lui manquait déjà. Elle était passée à la fin des vacances d’Avril lorsqu’elle eut fini sa tournée avec sa classe, alerté aussi par l’état de son fils, son renvoi et surtout un message d’Astrée. Quelques mots froid et détaché mais elle sentait qu’il devrait venir voir son fils. Manquerait plus que sa demi-soeur lui vole le bon rôle. C’était son fils, son cariño à elle. Bon elle avait passé ses deux jours en Ecosse à surtout se renvoyer leur grande qualité avec Astrée plutôt que de prendre soin de son fils, mais il fut content de la voir quand même. Même si elle venait pour lui tirer encore les oreilles, au moins elle serait là… Et encore, il la voyait plus que son père. Le fils à sa maman…

Il s’était fatigué vite, l’envie de boire qui lui retournait le crâne et lui tendait les muscles. Il avait arrêter de se laisser glisser sur le parquet et porté par la musique et travaillait son gainange. Quitte à avoir les muscles tendus, autant qu’il les éprouve. D’une seule main au sol, il avait soulevé son corps, les jambes en l’air en ponte, le corps en légère virgule, son débardeur long et échancré qui avait glissé presque jusque sur son visage. Chaque muscles étaient solicités, du bout de ses doigts jusqu’à la pointe de ses pieds. Il commençait à être tard, le couvre-feu n’allait pas tarder, il devrait arrêter pour avoir le temps de prendre une douche… Et le bruit de la porte de la salle de sport se fit entendre. Javier jetait un oeil à la silhouette via les miroirs aligné sur tout un pan du mur. Il étudiait l’élève qui arrivait et fronçait les sourcils en le voyant s’approcher de lui, quittant sa position avec souplesse, finissant sur les genoux.

L’un des fils Rowell…. Pour résumé ? Un putain de sang-pur et fils de riche. Gros connard quoi.
Il avait de plus en plus de mal à les voir en peinture. Déjà Ryland… En dehors d’Edgar, il était venu gratuitement lui lancer un sort de confusion au Spring Break après l’avoir chauffé. Non, franchement tous des connards vicieux. Franchement de son point de vue, il n’a pas compris le pourquoi de son geste. Il y en avait un, il y aurait pu ne pas en avoir aussi. Il avait vite compris que ce mec, il valait mieux pas l’emmerder et sa malveillance lui débordait par tous les pores.

Il s’était penché pour attrapé une petite serviette et se la passait sur le visage et la nuque afin d’essuyer la transpiration. Le visage fermé, froid il ne quittait pas Balthazar des yeux. Voir ces gens le regarder mal, approcher de lui ou apparaitre sans bouger dans son dos via le reflet d’un miroir (comme avait procédé Ryland dernièrement) il… n’aimait pas ça. Il avait toujours un frisson comme si son corps se mettait en alerte. C’était d’autre et ancien souvenir douloureux.

Sans crainte — ou le laissait simplement paraitre — Javier était resté genoux sur le parquet, levant la tête pour observer Balthazar et ne dit rien. Il attendait de voir si l’autre allait l’ouvrir sinon, il se lèverait et l’ignorerait tout simplement. Leur père se connaissait mais ça ne les obligeait pas à s’entendre pourtant Balthazar a tout des mecs avec qui il trainait par habitude parce que ça faisait parti de son milieu, de la vie d’enfant de célébrité, entre golden boy, Javier le genre plus bad boy de l’adolescence dorée avec la panoplie des ongles noirs, les bijoux dignent d'un rockeur et même quelques petits tatouages… mais au fond, il ne se trouvait pas beaucoup de point communs avec ces crétins là. Du moins il pensait. Il en avait l’arrogance, le caprice et l’égocentrisme. Son regard finit par avoir une expression, toujours aussi sombre et dur mais il levait un sourcil, l’air de dire : t’as un problème ? Il avait tellement tout de la petite brute qu’il était difficile d’imaginer qu’il a été un jour la victime de brute il y a quelques années.  
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Balthazar Rowell

5ème année
Balthazar Rowell
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Message(# lien) Sujet: Re: who the fuck do you think you are, talkin' to me like that ? who the fuck do you think you are, talkin' to me like that ? Empty21.04.24 2:54

@Javier Stein

Une dure nuit, un dur matin, et une dure journée. Voilà ce que venait de traverser Balthazar, encore fragilisé de son combat de la veille au soir avec Emile. Les coups avaient plu, jusqu'à ce que ni l'un, ni l'autre ne soit capable de continuer. A moins de risquer sa vie pour de bon. Un échange de coups violents, un règlement de comptes qui, malgré toute sa brutalité, avait été inscrit sur l'honneur de chacun. Un ultime coup, rendu coup sur coup, de quoi faire table rase. Et pour Balthazar, l'honneur serait tenu. Il n'avait qu'une parole. Mais aux yeux du Gryffondor, balayer le passé ne signifiait pas inviter l'autre dans ses rangs. Balthazar ne l'admettait pas, mais il respectait Emile. Certes. Il considérait avoir fait fausse route ... qu'Emile n'était pas le responsable de l'état actuel d'Edgar, de son empoisonnement. Principal suspect, le Poufsouffle avait réussi à s'innocenter. Pour ce qui était de l'affaire des braconniers, Balthazar avait décidé de passer l'éponge. La manière dont il avait traité Emile pour obtenir ses réponses, et cet accord d'une ultime bagarre lui avait suffi. Aux yeux du Gryffondor, l'honneur était lavé de ce côté.
Mais c'était tout. Il l'avait fait savoir, dès la fin du combat, que Balthazar ne voulait en rien copiner avec Emile. Ils n'étaient pas amis, ni frères de sang, de bagarre ou quoi que ce soit. Aux yeux du Gryffondor, Emile n'était rien. Il le laisserait tranquille, et lui ne s'occupait pas de ses affaires. Voilà tout.

Et aujourd'hui, c'était un autre que Balthazar avait dans le viseur. Wheeler était passé à la moulinette, Emile également. Et malheureusement, le Gryffondor n'avait pas toujours pas trouvé le coupable. Sa dernière piste, c'était celle de Javier Stein, peut-être le seul dernier suspect valable dans cette affaire.

A écouter Ryland, ce dernier avait réussi à écarter Javier d'Edgar. Sans l'intervention du Beresford, c'était à se demander jusqu'où Javier serait allé. Et surtout, il fallait se questionner combien il était resté sur sa faim, et si, par rancœur, frustration, et vengeance, il n'avait pas trouvé d'autres moyens d'atteindre le jeune Serdaigle, sans avoir à affronter Ryland de face. Le poison ... l'arme favorite des serpents après tout ... peut-être que oui ... ça faisait sens.

Il avait en quelque sorte donné sa journée à Oak, alors que Balthazar avait filé seul Javier discrètement à la fin des cours. Le Gryffondor avait exposé Ackley à deux reprises ... il considérait avoir profité de sa fidélité trop souvent pour réitérer aussitôt l'acte. Le Gryffondor savait pourtant qu'un mot aurait suffi pour que son ami soit à ses côtés. Etait-ce par fierté alors qu'il y allait seul ? Ou parce que lui-même commençait à se rendre compte inconsciemment qu'il était poussé par le désespoir de trouver le coupable. Balthazar était fier, incapable d'admettre que ce travail était celui d'un véritable enquêteur, d'un Auror. Mais il était l'ainé des Rowells, et il détestait admettre que pendant tous ces mois, il n'avait pas vu la situation se dégrader autant pour son frère.

Il observa le garçon un certain temps, surpris par ce qu'il voyait. Javier pratiquer le balet ? Cela, c'était chose ignorée par beaucoup. Le Serpentard était connu de tous pour être une brute impitoyable. Il s'était après tout fait renvoyer de Poudlard un mois plus tôt. Un individu que pourtant, Balthazar respectait quelque peu. Pour sa force et son caractère surtout. Javier avait quelque chose de puissant en lui, que peu osaient confronter. Et quelque chose dans son attitude, sa posture, son regard, laissait aussi entendre qu'il était loin d'être un idiot. Juste un mec qui se foutait d'être à Poudlard ou de son avenir, se moquant bien d'une quelconque tâche sur son dossier.
Ainsi, le voir pratiquer une danse si sensible, si précise était une vision inattendue. Définitivement, Javier Stein n'était pas l'individu que Balthazar pensait être. Erin était-elle au courant ? Etait-ce pour cela qu'elle était si accroc à ce type ? Car il n'était pas qu'une brute sans cervelle ?

Balthazar avait assez attendu, et observé. Il avait donné un temps respectueux pour que Javier finisse sa chorégraphie, avant de se révéler. Le Serpentard le vit aussitôt, se relevant immédiatement alors que le Gryffondor fermait la porte derrière lui. Balthazar vérifia d'un rapide coup d’œil. Personne d'autre qu'eux deux. Balthazar s'approcha. Il ne boitait plus ... et pour cela, il pouvait remercier les soeurs Thorwald ainsi qu'Oak pour leurs bons soins. Mais il restait encore marqué au visage, un œil au beurre noir, des bleus au front, et l'allure d'un mec qui n'était pas au top de sa forme, bien qu'il faisait mine de le cacher, et y arrivait plutôt bien. Et sous sa chemise, ce n'était pas mieux. Ça guérissait vite heureusement, grâce à la magie magique. Ce fut à peine si Nyx les remarquerait le lendemain, trop emportée par ce qu'ils seraient occupés de faire pour s’inquiéter de quelques hématomes que Balthazar s'était sans doute fait au sport.

Pas un mot, ni de l'un, ni de l'autre, alors que Balthazar s'était rapproché de lui, le surplombant. Javier restait à genoux, impassible ... fier. Fini le danseur, le Serpentard se recachait sous sa carapace d'écailles, menaçant de son regard froid et hargneux.

"Je savais pas ... que tu savais danser."

Fit alors Balthazar calmement. Mais il y avait bien des choses qu'il ignorait de Javier. Combien de fois s'étaient-ils vus hors Poudlard, autour d'une table pour un repas mondain ? Deux, trois ? Allez, quatre en forçant sur les souvenirs. Mais il n'y avait pas d'amitiés entre eux, aucun atome crochu. Balthazar s'était toujours montré courtois, mais distant avec Javier. La sauce n'avait pas prise du tout. Encore une fois, chacun ayant une aversion pour l'attitude qu'ils présentaient à l'autre. Au mieux, le Gryffondor l'aurait considéré comme intéressant, car Javier n'essayait pas d'obéir à aucune règle de l'apparence. Mais il n'était pas de sang-pur, lui. Il n'avait pas le poids des responsabilités aussi lourd que le sien. Et au final, il y avait toujours un certain mépris envers ce type qui cherchait à toujours provoquer son monde avec son attitude rebelle. Oui, respect, et mépris à la fois.

"Je pensais que ton truc à toi ... c'était la boxe ... ou la lutte."

Fit Balthazar, parlant comme si de rien n'était, en marchant tranquillement dans la pièce, usant de son espace, observant son reflet et celui de Javier se multiplier sur les miroirs de la salle. Balthazar ignorait même que la salle de sport pouvait leur offrir un tel lieu. Mais pourquoi pas après tout ... les enchantements de cet endroit étaient variés, s'adaptant à tous les besoins sportifs de ses visiteurs. Ces salles portaient bien leur nom.

"Parait même que tu aimes bien t'entrainer dans les sous-sols, à ce que j'ai cru entendre."

Il se retourna, toujours calmement, et se rapprocha, se mettant en position accroupie, se mettant à hauteur de Javier. C'était désagréable, vu les courbatures et les bleus, de ne serait-ce que se mettre ainsi. Mais tant pis. Il voulait voir la réaction de Stein à ses prochains mots :

"Mais sérieusement ... t'as pas trouvé meilleur partenaire qu'Edgar pour faire tes conneries ?"

Un ton plus tranchant, plus dans le reproche, et son regard avait changé. Fini le garçon distant, désintéressé, qui lui-même semblant ne pas savoir ce qu'il faisait là, comme si ses pieds l'avaient mené ici. Balthazar révélait ses raisons d'être là. Mais déjà, il semblait avoir signifié quelque chose à Javier. Peut-être ne venait-il pas lui casser la gueule. Il l'aurait déjà fait sinon. Peut-être laissait-il au Serpentard le rare privilège de se défendre, d'exposer sa version des faits.
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Javier Stein

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Danse depuis son enfance, entrainé et coaché par sa mère ;; charismatique et sanguin ;; est né et a grandit en Corée, appelé Baek Hyun, Javier est son deuxième prénom ;; a étudié à Mahoutokoro, arrivé à Poudlard fin sept 2009 ;; parle coréen, japonais, espagnol et anglais (usa) ;; mère ancienne danseuse de ballet, désormais prof au Korea National Ballet et son père est un ancien chanteur de rock sorcier, désormais à la tête de sa propre marque de vêtement sorcier dit Stein // danses : classique, modern, contemporain, approche du hip-hop et danse magique et la kizomba mais c'est pour draguer ça. Bon en général avec les moldus dommage...


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Message(# lien) Sujet: Re: who the fuck do you think you are, talkin' to me like that ? who the fuck do you think you are, talkin' to me like that ? Empty22.04.24 22:31

Die Young — STORM
@Balthazar Rowell

 8 Mai 2010
Javier levait encore plus son sourcil. Il ne comprenait rien à la situation. Apres vu la gueule de Balthazar il pouvait avoir l’air… Perdu ? Un truc comme ça. Ils ne s’étaient jamais parlé, ni à leur rare rencontre et encore moins à l’école. Le Gryffondor venait lui faire la causette, pensant être seul ici pour faire un peu de sport… Ou c’était un préfet et il était venu vérifier les salle avant que le couvre-feu ne soit établi. En vrai, tout comme l’élève devant lui, il en savait tellement peu sur lui. Ou juste un minimum pour ne pas s’intéresser plus à lui. Le joueur de Quidditch et ce groupe de petit sang-pur… Il aurait pu s’approcher d’eux pour trainer avec eux, mais il en a préféré d’autre et avec le temps, il restait avec ceux qu’il connaissait déjà : Min-Ho pour qui il avait traversé le monde pour le retrouver et Samael, un ami d’enfance aussi. Puis, il y a eut Erin et… il n’avait plus trop de temps pour aller trainer avec qui que ce soit.

« Peut-être parce que tu fais juste pas attention aux autres comme tous les gars dans ton genre… » et c’était un peu l’hôpital qui se foutait de la charité, mais Balthazar avait bon. Javier était bien plus sensible qu’il ne le laissait paraitre. Suffisait de voir sa passion. Enfin, ça ne changeait pas son caractère de merde. Il le défiait presque du regard avec son sourire à claquer. Il faisait même partie du groupe de cheerleader et avait été là quand le match opposait Serpentard et Gryffondor, mais bien sûr il supportait les verts.

Un soupir à son autre remarque. Il n’avait vraiment pas envie de se tailler une bavette avec lui et ses préjugés de merde.

« Eh bah non, je suis qu’un petit pédé en tutu… » répliquait-il en citant simplement le genre de phrase qu’il a entendu depuis longtemps. Les termes étaient de plus en plus dur et cru, mais l’idée était la même : t’es une fille, petite danseuse, petit pédé, …
Le sourire de Javier s’étirait bien plus jaune et amer. Il commençait à se lever et les deux élèves faisaient sensiblement la même taille. Balthazar devait être un peu plus carré que lui dans sa carrure, musclé par le Quidditch et surement un peu de sport. Javier aussi, mais les muscles étaient différent, plus ciselée, reparti dans tout son corps avec la danse.

Javier ne cessait de le regarder un peu perplexe, ne voyant tellement pas où il voulait en venir et surtout pourquoi il était venu l’emmerder de tout et de rien… Surtout de rien.

« Parle plutôt pour toi, quand on voit l’état de ta tronche… T’as reçus un coup de trop, tu divagues, je comprends pas ce que tu m’veux... » sifflait-il presque, le visage qui se tendait d’agacement sous son inélégant accent américain qui persistait toujours. Enfin inélégant pour les anglophones d’Europe.

Et soudain, le danseur se figeait, se reculant légèrement, tous les muscles tendus, rendant sa mâchoire bien plus saillante et carré. Il ne réalisait pas mais le stress avait augmenter les battements de son coeur et son sang pulsaient sous ses veines. Il s’était dit déjà que l’autre venait surement chercher les emmerdes comme tous les mecs de son genre même si… Balthazar était plus le mec populaire que le bully de l’école — l’un n’empêchait pas l’autre en vrai. Il s’était alors d’abord focalisé sur ce qu’il dégageait, son attitude, son approche et doucement les paroles lui arrivèrent sous le crâne.

Et l’incrédulité sur son visage. Il avait l’impression que l’autre lui faisait une mauvaise blague ou qu’il avait vraiment reçus le coup de trop. Il cherchait dans ses souvenirs s’il avait un soucis psychique qu’il aurait pu étendre dans les bruits de couloir, sa famille, ou…

« Edgar ? » et on pouvait lire dans son regard qu’il ne savait pas de qui le Gryffondor parlait. Faire le lien entre les prénoms et les têtes. C’est surtout le visage du petit dont il se rappelait. Et lentement… Très lentement il avait fait le lien, fronçant les sourcils. Les cachots, la boxe, … et contrairement à ce qu’on pensait, il ne se tapait pas tous les deux jours avec quelqu’un. Des bousculade certes, mais des confrontation musclés, à part Emile et… donc Edgar.

« Ah ouais, le gars qui a pris ma meuf en photo » fit-il un peu perturbé mais sans rien montré d’avoir utilisé ce terme d’instinct. C’était fini avec elle, il fallait qu’il se fasse une idée.
« dont une avec moi dans le but de faire souffrir Erin et... un petit con, certes... mais même, c’est pas cool… Et donc ? Toi aussi tu te dois de le protéger ?! T’inquiètes on m’a bien fait comprendre de ne pas recommencer, ni l’approcher. T'arrives un peu tard. » balançait-il sans réaliser et savoir cette fois ci que c’était le petit frère de Balthazar. Il a déjà très peu de souvenir de celui là, mais alors les plus petit. Et même si un jour le nom d’Edgar avait effleurer son esprit quand il le cherchait pour venger Erin et lui demander d’arrêter ses conneries de gros pervers… Il l’avait tout aussi vite oublié.   


Ici j'trouverai jamais la paix...
... donc j'ai filé comme une étoile. J'me suis fait la belle j'ai tout quitté, j'ai mis les voiles. T'as pleuré comme cent mille averses s'il te plaît faut pas m'en vouloir. Pardon si j'ai gâché la fête, j'voulais m'échapper du trou noir. Ici, je n'suis pas à ma place, pas à ma place, pas à ma place (Lujipeka)
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Balthazar Rowell

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Message(# lien) Sujet: Re: who the fuck do you think you are, talkin' to me like that ? who the fuck do you think you are, talkin' to me like that ? Empty22.04.24 23:14

@Javier Stein

Comme tous les gars dans son genre. Balthazar ne releva pas l'agression à peine dissimulée. Dans son genre ... beau, populaire, trop occupé pour s'arrêter à regarder chaque élève autour de lui ? Ou dans son genre de mec ayant du sang-pur, et faisant donc de lui un type hautain et méprisable, comme beaucoup lui faisaient remarquer. Balthazar relevait à peine. Sa mère lui avait dit il y a longtemps, qu'il serait détesté, voir insulté pour son sang. Elle avait eu raison. Une vérité répétée par bien d'adultes de sang-pur. Il y avait une réelle scission entre les sangs-purs et les autres : une haine. Balthazar avait appris à ignorer ce qu'il voyait là comme une aversion pathétique.

"J'irai pas jusque là non plus ..."

Fit le Gryffondor avec un sourire amusé, mais narquois, à la remarque de Javier, à sa manière de s'insulter avant que les autres ne l'insulte. Balthazar avait du mal avec ceux qui s'apitoyaient, ou se descendaient à la moindre remarque. Javier dansait le ballet, la belle affaire. Certes, ce n'était pas l'activité que Balthazar aurait parié sur, mais pourquoi pas après tout. Monde libre. Ils étaient en 2010, pas dans les années 90. Certains ne semblaient pas s'en rendre compte, Javier par exemple.

Le Serpentard était sur la défensive, agacé par ce fils de bonne famille, qui lui tournait autour. Ils avaient déjà partagé la même table, mais de là à croire qu'ils étaient potes, il y avait un monde. Mais peut-être que Balthazar avait cru le contraire. Après tout, il n'était pas rare que les aristocrates ne se prêtent vite à la convivialité, notamment quand la personne en face pouvait leur servir de sa richesse ou de son influence. Le jeu des riches auquel, peut-être, Balthazar voulait s'essayer avec lui. Mais pourquoi ?
Balthazar émit un rire à l'évocation de ses blessures. Il eut envie de révéler Javier d'où elle venait. Le Serpentard l'aurait peut-être apprécié, voir félicité, en connaissance de cause. Mais il ne lui fit pas le cadeau. Ce n'était pas nécessaire, et il n'était pas là pour ça. En rien Balthazar souhaitait avoir l'air sympathique aux yeux de ce type.

La réaction du garçon ne lui plut pas. Cela se vit, car le visage de Balthazar se renfrogna. Qu'il méprise son frère était une chose, qu'il l'oublie ... c'en était une autre, vu les circonstances.

"Ouais, Edgar."

Répéta t'il d'un ton sec, pour allumer sa lanterne plus intensément. Il fallut un peu de temps, mais le Serpentard se souvint enfin, référant immédiatement à l'affaire des photos. Il donna ses raisons, comme quoi il était allé trouver Edgar pour cette fameuse affaire justement. Balthazar le regarda d'un air sombre, le laissant finir. Puis, après un temps de sience, il lui demanda, un sourire en coin :

"Ta meuf ? Je croyais que c'était celle de Mac Raven ? Vous vous la partagez ?"

Et immédiatement, il sortit sa baguette, tenant en joue Javier avant qu'il n'explose.

"Ta-ta-TA ..."

Il n'était pas stupide, il connaissait la réputation du coco. Et sa réplique avait été prononcé de manière à le provoquer. Si le Serpentard faisait un seul mauvais mouvement, il était certain d'être frappé par un sortilège. L'attitude de Balthazar semblait lui promettre cela.

"J'imagine que ça te ferait mal d'être collé au plafond. Ryland s'est déjà occupé de ton cas ... une fois suffit non ?"

Il lui parlait calmement, mais d'un ton un peu narquois, profitant de son avantage. Balthazar n'était pas en état pour venir se frotter à Javier à mains nues. Mais à cet instant, il n'avait pas besoin d'être véloce ou en état de se battre. Tout ce dont il avait besoin, c'était de ses mots. Et sa langue acérée ne perdrait pas une seconde si Javier lui laissait un instant croire qu'il allait réagir.

"Je te comprends tu sais ... cette photo ... ça t'a foutu dans la merde ... qui sait même si ce cliché n'a pas été la première pierre, celle qui foutu ta relation en l'air avec Gibson."

Pas une grosse perte faillit-il dire, mais la sagesse l'en empêcha. Pas sur que Javier resterait sage s'il entendait Balthazar insulter son ex. C'était déjà tendu, le Gryffondor s'attendait à tout moment à le voir lui sauter à la figure. Il jouait avec le feu, il le savait. Mais le jeune homme n'avait pas peur de s'y exposer, il l'avait prouvé à maintes reprises. Au final, peu étonnant qu'il apprécie autant Oak, ils se ressemblaient. Balthazar était peut-être même plus téméraire et imprudent que son pote.

"T'as voulu venger ton honneur, ou celui de Gibson ... ça je peux le comprendre. J'aurai cru que tu aurais su te contenir ... tu fais deux fois la taille du gosse quand même."

Il restait évasif sur le lien qui l'entretenait avec Edgar, faisant mine qu'il comprenait, voir qu'il estimait Javier, à entendre son ton. Après tout, c'est parce qu'il savait qu'il était dangereux qu'il avait élaboré ce plan pour le neutraliser, baguette en main. Il évoqua tout de même l'injustice de ce combat, comme quoi il n'y avait aucun mérite, ni honneur à écraser une fourmi comme Edgar.

"Je peux même comprendre que tu ais oublié son existence ..."

Balthazar le savait, pour beaucoup, dans et hors Poudlard, son frère était d'une insignifiance. Même au sein de leur famille au final, bien que ses parents prouvaient le contraire depuis l'accident.

"Mais il y a une chose que je veux que tu te mettes dans le crâne, que tu l'inscrives au fer rouge dans ta cervelle ..."

Il le regarda d'un oeil sérieux, abandonnant son sourire narquois, prononçant calmement mais clairement :

"Edgar Ro-well est hors limite. Tu as compris ?"

Il avait bien insisté sur le Rowell, pour que l'information monte au cerveau. Rowell, comme dans Balthazar Rowell. Edgar était de sa famille, voilà pourquoi il venait le trouver aujourd'hui. Le Gryffondor resta en joue, arrivant à la fin de son petit monologue :

"Je ne vais rien te faire. Ryland t'a déjà bien puni à ce que j'ai cru entendre."

Petit titillement, conscient que ce souvenir devait froisser l'ego de sa cible. Combien de personnes étaient au courant, riaient dans le dos du Serpentard à l'idée de l'imaginer être dévoré par un plus vorace que lui.

"Mais saches que si tu t'approches encore une fois d'un de mes frères, la dernière fois où tu danseras le ballet, ce sera du bout de ma baguette."

Sa voix n'avait pas haussé d'un ton, une vocifération basse, agressive dans son propos, lourde de sens. Balthazar regarda Javier dans les yeux :

"Kapiche ?"
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